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| Sujet: Agent Pérez; En cours d'écriture. Ven 15 Juil - 6:46 | |
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Niveau de Rp? écrire ici Où avez vous découvert le forum? Sur un autre forum, je pense. Qu'en pensez-vous? C'est à voir, mais il semble bien. Le mot magique du réglement:écrire ici TON CARACTÈRE, TON CARACTÈRE, TON CARACTÈRE, TON CARACTÈRE, TON CARACTÈRE, TON CARACTÈRE, TON CARACTÈRE, TON CARACTÈRE, TON CARACTÈRE, TON CARACTÈRE, TON CARACTÈRE, TON CARACTÈRE, TON CARACTÈRE, TON CARACTÈRE, TON CARACTÈRE, TON CARACTÈRE, TON CARACTÈRE, TON CARACTÈRE, TON CARACTÈRE, TON CARACTÈRE. (Minimum 5 lignes ! ) | ▪ Couleurs des Yeux ? Marron clairs ▪ Couleurs des cheveux ? Ébène ▪ Couleur de peau ? Bazanée ▪ Quelle taille et quel poids ? Écrire ici ▪ Tenue vestimentaire? Uniforme de police la semaine, et plus décontracte la fin de semaine. |
Assise sur son lit, les yeux dans le vague Dianna refoulait du mieux qu’elle pouvait ses larmes. S’essuyant maladroitement le visage, elle se maudissait mais en même temps, elle n’était pas la seule fautive dans l’histoire non? Posant une main sur son ventre rond, elle ne pouvait pas faire autrement que de demeurer forte, pour l'enfant qui allait bientôt venir au monde. C'était égoïste de baisser les bras, tout en se relevant de son lit elle jeta un oeil vers la porte de sa chambre puis prenant une grande inspiration la jeune latina franchit la porte, et descendit doucement les escaliers elle trouva son père un homme dans la début cinquantaine, veuf depuis maintenant deux ans, les yeux rivés sur la télévision elle vint s'asseoir à ses côtés ce dernier, eut un doux sourire et passa ses bras autour de sa fille, le silence avait pris tout la place, la jeune adolescente s'humecta les lèvres et demanda; «Papa, j'aimerais bien que tu m'amènes le voir demain.» Sa voix s'était transformée en léger chuchotement, le visage de l'homme devint dur, il regarda sa fille un moment et lâcha un soupir d'agacement; «Dianna, t'as toujours rien compris? Il est en prison pour vol à main armé, delit de fuite... Combien de fois, il aurait pu te tuer, je peux pas te laisser faire. N'oublit pas que tu n'es pas seule maintenant Dianna.» La jeune femme posa sa main sur son ventre rond, et son père prit son visage délicatement, les yeux de sa fille était bercer de larmes, cela lui crevait le coeur, combien de fois elle avait vue sa fille triste, déstabilisée, enfermer dans sa chambre refusant de manger. Ce connard faisait vivre l'enfer à sa fille, et ça il ne pouvait pas laisser passer cela. «S'il te plaît papa. C'est le père de ma fille.» Elle avait raison, c'était une évidence il était bel et bien le père de sa fille. Un homme dans la vingtaine avancé, la pire crapule que la terre est portée, avait réussis à charmer sa fille à l'hypnotisée. «C'est d'accord...» Ajouta-t-il finalement tout en se résignant. Encore une fois, il devrait aller la reconduire à la prison, et l'a ramasser à la petite cuillère quand elle sortirait d'entre ces murs.
La jeune femme entra dans l'immense salle, où était placé des tables et des chaises, des gardiens surveillaient la salle avec attention, la jeune maman, remarqua son latino assis les mains menottés au fil qu'elle s'avançait elle pu remarquer le regard du jeune prisonnier s'illuminer à sa venue, puis doucement elle prit place sur la chaise d'en face. Ce dernier, l'a dévisagea un moment, avant de répondre; «C'est moi, qui suit à moissir ici. Et tu sembles plus épuisée que moi.» Il n'avait pas tord, la grossesse de la jeune femme était pénible, elle ne faisait pas d'excellente nuit. «Ta fille est une vraie bagarreuse, elle me fait la misère.» Le coeur dur et sans scrupule du jeune incarcéré, sembla fondre au fil des paroles de sa copine, puis avec le sourire il se murmura à lui-même; «Ma fille... Je vais avoir une fille.» Cela fit sourire la demoiselle, qui approuva les yeux dans l'eau d'un signe de tête, doucement ils s'avancèrent l'un vers l'autre, et la jeune adolescente gouta aux lèvre de son petit-ami, elle se sentait revivre soudainement, puis la conversation continua de plus belle, d'un ton moqueur et légèrement mesquin il demanda; «Sinon, comment ton vieux prend ça?» Il se câla dans son siège, avec ce sourire qui nous donne le goût de lui en foutre une bonne droite. «Il le prend très bien. Il m'accompagne à mes rendez-vous.» Son ton devint plus agacé, elle aimait le jeune homme de tout son être, mais détestait quand ce dernier parlait ainsi de son père, comme si c'était un moins que rien. Cela fit rire le jeune détenu, ce qui fit froncer les sourcils de la demoiselle en face de lui, elle ne voyait pas ce qu'il y avait de comique là dedans. «Il fait ce que tu aurais été supposé faire c'est tout.» Le jeune couple se dévisagèrent un instant et dans un élan d'agressivité il s'avança vers elle, et ajouta entre ses dents; «Tu crois que c'est que je souhaitais! Tu crois que ça m'amuse de pourrir ici?» Un frisson parcourut le dos de la jeune femme avec toute la force et son courage elle répliqua; «Je t'interdis de me parler comme ça! J'y suis pour rien moi. C'est pas moi, qui a braquer cette foutue banque.» Peut-être que sa dernière phrase était de trop, mais la demoiselle en avait beaucoup sur le coeur. Cela ne sembla pas faire plaisir au jeune homme, son regard devint noir puis il poursuivit sur le même ton; «Je l'ai fais pour toi Dianna.» Là c'était trop, elle se leva d'un bon de sa chaise puis elle ajouta avant de tourner les talons; «Fait jamais de moi, la raison qui t'a poussé à descendre ses innocents, jamais!» Elle s'engagea vers la sortie, faisant signe au gardien que la visite était terminée puis elle pu entendre au fond de la salle des cris de rage, mais elle se retourna pas, continuant son chemin. Rendue à l'extérieur, elle vit son père qui l'attendait sagement endossé contre la voiture, la jeune femme n'ajouta rien ne faisant que contourner le véhicule pour ouvrir la portière et monter à bord. Le trajet se fit en silence, contrairement à d'habitude Dianna semblait calme, elle ne laissait aucunes émotions transparaîtres.
La grossesse de la demoiselle se passa rapidement, c'est l'un 4 juillet l'année 1982 qu'elle mis au monde sa petite fille. Elle lui donna le nom de Gabriella «Manuela» le prénom de sa mère comme deuxième prénom. Heureusement que son père était là, pour l'épauler et l'aider faut dire que l'arrivée de Gaby dans leurs vies, fut comme une petite bombe et énormément d'adaptation. Mais l'enfant ne manqua de rien, Mr. Pérez jeune grand-père remplissait le rôle de père à merveille au grand bonheur de sa fille. Puis les mois passèrent, et en moins de temps qu'il faut pour le dire, Gabriella fêta son deuxième anniversaire. Quelques semaines après, d'un accord commun ils décidèrent de partir pour Los-Angeles, dans une petite ville appelée Inglewood. Des rumeurs disant que Vin, le copain de Dianna ou plutôt l'ex copain, allait demandé d'aller en appel, concernant son procès et il était possible que sa peine dure moins longtemps, donc c'était préférable pour leurs sécuritées et surtout pour le bien être de Gabriella, de partir ailleurs.
«Papi, il est où mon papa?» Gabriella devait avoir 6-7 ans. De ses grands yeux noirs elle l'implorait désirant connaître l'identitée de son père. Mr. Pérez changeait toujours de conversations ou encore il faisait tout pour changer les idées de sa princesse, et ça fonctionnait. Gabriella allait à la petite école, et sa mère aussi était retournée sur les bancs dans l'espoir d'avoir un bon boulot, ayant eu son enfant très jeune. Tout semblait aller pour le mieux, puis un après-midi alors que Dianna rentrait du boulot elle crut refaire un saut en arrière en voyant cet homme comment s'était possible, il était déjà sorti et se baladait dans les rues comme un citoyen ordinaire? Dianna tenta de l'ignorer, mais elle lui bloqua le passage; «Voyons princesse, on me dit plus bonjour?» Elle lui lança un regard noir tout en lui disant; «Dégage d'ici, ou sinon j'appelle les flics.» Cela sembla faire ni chaud ni froid à l'homme qui dit d'un ton manipulateur; «J'ai juste envie de voir ma fille, c'est tout.» Cela fit rire la demoiselle, voir sa fille c'était la meilleure ça. En quatorze ans, c'est maintenant qu'il se décidait Dianna n'eut pas besoin d'ouvrir la bouche, qu'une ombre apparut à l'extérieur; «Je te conseil de dégager, si tu veux pas retourner crever en taule. Je comprend pas, pourquoi tu n'y es pas rester en d'ailleurs.» Annonça l'homme à la chevelure plus grissonante qu'autrefois; «J'en sais rien... Faut croire que c'est ça le système de justice.» Il fit quelques pas vers l'arrière puis disparut comme il était venu. Dianna n'arrivait pas à le croire ils avaient fuis leurs ville pour s'éloigner de lui, et voilà qu'il était à Inglewood.
Heureusement Gabriella ne fut pas affectée par cette altercation, elle n'en connu même pas l'existence. Parlons un peu de Gabriella justement, parce que bon c'est elle la cible non? Pendant que sa mère avait des problèmes avec le fantôme de son passé, elle que faisait-elle? Elle bossait comme une dingue dans un commerce d'un ami, étant très habile de ses mains elle adorait ce boulot, durant les week-ends, elle coursait dans le but d'avoir du blé. Heureusement que sa mère n'en savait rien, imaginez la scène qu'elle aurait fait, en découvrant les plans de sa fille. La jeune adolescente était extrêmement douée elle avait le même talent que son père, pour les activitées à sensations fortes. Mais bon ça elle ne le savait pas étrangement elle ne demanda aucunes autres questions concernant son paternel, elle savait que cela perturbait sa mère, donc elle préféra garder le silence là dessus. Mais un soir, alors qu'elle était avec un pote ce dernier lui demanda; «C'est vrai que ton père c'est le mecs qui a braquée une banque y'a plusieurs années à New-York?» La jeune femme haussa les épaules elle en savait strictement rien de cette histoire. «Apparemment, qu'il aurait tué plusieurs personnes, il a fait plusieurs fois la manchette, des journaux.» Gabriella avait du mal à croire à une telle histoire. Son pote l'amena chez lui, et lui montra les découpures de journaux dont on parlait de cet homme, Gabriella se mis à lire les découpures vieillits par le temps, regardant le visage de l'homme légèrement embrouillé puis sentit un pincement au coeur, c'était pas possible, si? Ce n'est pas pour autant qu'elle en fit une histoire préférant ne rien dire, pour ne pas semer la zigzanie dans sa famille elle reçut sa graduation à la fin de son lycée, sous le regard fier de son grand-père et de sa mère, puis dans le début de la vingtaine elle réussit à devenir agent en patrouille.
«Agent Berrof, vous allez patrouiller avec l'agent Pérez, dans le district suivant.» Le chef de l'équipe leur tendit le plan respectif où ils devaient patrouiller. La jeune femme se rendit dans la voiture de patrouille en compagnie de son partenaire, les yeux rivés vers l'avant elle inspectait soigneusement étant prête à intervenir. puis soudainement elle entendit un grinchement dans l'intercom qui disait; «Accident, sur Hillcrest Boulevard. Besoin de renfort.» Aussitôt la voiture de patrouille alluma ses fameuses sirènes et ils foncèrent sur les lieux. Arrivés, ils sortirent de la voiture des gens étaient autour du désastre deux voitures entrées en collision. Les ambulanciers n'étaient pas encore sur les lieux mais ça ne saurait tarder. Une femme s'avança vers Gabriella en disant; «Por favor, ayúdame a mi hija se ha quedado atascado .. No puedo ..» (S'il vous plaît, aidez-moi ma fille est coincée.. J'arrive pas..) Gabriella tenta de la rassurer, et appela son partenaire tout en lui demandant de faire venir plus de renfort. Ils sortirent l'enfant avec difficulté certes, mais les ambulanciers arrivèrent à ce moment là et tout sembla rentrer dans l'ordre. La jeune femme dut s'endurcir aux fil du temps, parce que les endroits d'Inglewood n'était pas si tranquille qu'ils le laissait paraître. Puis au fil du temps, elle gravit les échelons et devint inspecteur dans la division criminelle.
Entre le boulot, la famille, elle avait aussi ses relations amoureuses, bon amoureuses c'est vite dit, surtout que c'était assez des relations difficiles et houleuses. Elle fit la connaissance d'un avocat très connu pour avoir gagné ses causes, à vrai dire elle l'a rencontrée par l'intermédiaire d'une amie lors d'un week-end à New-York et tout de suite la chimie c'est installée. La jeune femme n'avait jamais cru en l'amour, et son amour véritable était son job. Avec la distance et leurs jobs très prenants cela donnait naissance à des disputes. [darkblue]«Pourquoi, tu viendrais pas vivre avec moi, je veux dire ici à New-York.»[/color] La jeune femme ne pouvait pas abandonner son job, surtout qu'au niveau professionnel tout allait pour le mieux; «Je peux pas, et tu le sais. Je peux pas laisser mon job, et venir habiter ici avec toi. Qu'est-ce que ta femme dirait si elle savait ça hum?» Parce qu'en plus, elle était l'amante de cet homme. Leur aventure dura tout de même 8 longs mois, après la rupture ou plutôt l'accord commun, la jeune femme se remis au travail, après quatre années, à se faire connaître et se faire un nom respectable comme agente "la dure à cuire" elle se fit recruté par la police de Quantico, à son plus grand plaisir, qui dans toute la ville, ne connaissait pas, ce "clan" encore là elle dut faire ses preuves pour mériter sa place, mais elle réussit avec brio, depuis elle en fait donc partie. Elle a réussit à gagner le respect de ses confrères, et elle a du coeur au ventre la demoiselle. Pour le reste, l'histoire reste encore à écrire. (a)
(Minimum 15 Lignes. ;D) | Crédit: fiche créée par creatic, elle est disponible sur http://centralreview.orgfree.com PRÉNOM & NOM
Dernière édition par Gabriella Pérez le Ven 15 Juil - 18:02, édité 2 fois |
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