Un peu de paperasse n'a jamais fais de mal (John Around)
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Sujet: Un peu de paperasse n'a jamais fais de mal (John Around) Sam 13 Avr - 15:41
John & Maggie
Un peu de paperasse n'a jamais fais de mal
Je venais de terminé ma dernière mission, je devais à présent faire mon rapport. Après deux mois d'infiltration je n'avais guère envie de retrouvé mon bureau mais il le fallait bien et puis mes collègues ou plutôt leurs personnalités très diverses me manquais alors ce lundi matin je me rendis au bureau accompagné d'un bon café mokaccinno que j'avais été prendre au starbuck vers le commissariat. Arrivé au poste de police, je pris la direction de la brigade, je connaissais le chemin par coeur, il n'y avait encore personne hormis moi pour les stups, je m'asseya donc à mon bureau et commença à taper mon rapport. Après ses deux mois de travail j'en avais à écrire, heureusement que j'avais bonne mémoire.
Les heures défilaient doucement et mes collègues arrivaient à tours de rôle passant me voir à mon bureau pour prendre des nouvelles car on ne s'était pas revu depuis le début de mon infiltration à part pour l'arrestation que nous avions mené. Ca me faisait plaisir de tous les revoirs ainsi que notre mascotte, le petit furet de l'un de mes collègues, Bob, j'aimais bien les bêtes mais avec ce furet j'avais eu quelques difficulté au début mais à présent j'aimais bien prendre soin de cette petite boule de poils. Je fus interrompu en fin de matinée par un policier que j'avais déjà rencontré une ou deux fois par le passé et on ne pouvait pas dire que c'était bien passé entre nous deux. Je leva la tête et lui répliqua d'un ton neutre.
• Bonjour, je peux vous aidez?
Je présentais que cette visite n'était rien de banal, il avait certainement des choses à dire mais quoi. J'étais habillé d'un jeans, d'un débardeur et d'une petite veste et pour une fois je n'avais pas attaché mes cheveux. Mon regard était planté dans celui du responsable de la police scientifique qui semblait avoir une dent contre les femmes dans la police je dois dire, c'était le sentiment que j'avais ressentie lors de notre première discussion, d'ailleurs il me tapait bien sur les nerfs avec son mépris mais bon dans ce métier très masculin je savais bien qu'en étant une femme ça ne serait pas facile tout les jours et puis j'aime bien ça évite le petit train train quotidien.
code fiche par alaska.
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