Invité
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| Sujet: Présentation de James ! Dim 3 Juil - 21:56 | |
| Once upon a time ...
| ~ James Marston ~ 29 ans.
Surnoms : Prof...
Origines (Où es-tu né(e) ?) : Philadelphie en Pennsylvanie.
Métier : Professeur de langue à la fac.
Groupe : Citoyens.
Orientation sexuelle : Bisexuel.
Si je te pince, tu dis ? : Owi encore ! /sbam
Plutôt Sucré ou Salé ? : Sucré.
Plutôt Eau ou Whisky ? : Whisky.
Plutôt Coup d'un soir ou Mariage ? : Mariage.
Plutôt Coup de fouet ou Fessée ? : Fessée *w*.
Plutôt Cigarette ou Bonbon ? : Les deux.
Plutôt Dominant ou Dominé ? : Les deux...
Plutôt Dangereux ou Affectueux ? : Affectueux.
Que trouverait-on dans ton casier judiciaire ? : Rien de bien inquiétant ! |
A criminal and a cop... ~ Physique ~ Jamie Dornan !
Couleur des yeux : Gris <3
Couleur des cheveux : Bruns !
Couleur de peau : Blanche mais il est assez bronzé.
Ta taille : 1m83 !
Ton poids : 75 kilos !
La partie de ton corps que tu détestes ? : Son nez oo
La partie de ton corps que tu préfères ? : Ses abdos et ses yeux.
Quelle partie du corps t'excites le plus chez ton partenaire ? : Le sourire, le torse.
Style vestimentaire : Des jeans, pantalons larges, des chemises et des t-shirts. Il s'habille normalement, toujours branché sans tomber dans le costard cravate ou le string rose. Il porte souvent des lunettes de soleil. Il aime se balader torse nu.
Signe particulier : il a un tatouage tribal sur le biceps gauche.
| | | ~ And more... ~ It's useless but...
Quel est ton plat et ta boisson préférés ? : Le poisson et le rhum !
Quel est ton film, ou ton livre, préféré ? : La ligne verte !
Quelle est ta fleur préférée ? : Les soleils de nice.
Tu meurs demain, que fais-tu aujourd’hui ? : Il s'amuse.
Ta religion ? : Protestant... peut-être s'il avait une religion mais ce n'est pas le cas.
Consommation de drogue, d’alcool, de tabac ? : D'alcool, oui, et de tabac aussi mais pas de drogue... enfin, pas trop.
Ton avis sur l’avortement ? : Il n'a pas vraiment d'avis.
Ton avis sur l’homosexualité/ La bisexualité ? : Il est bi....
Ton avis sur l'infidélité ? : Contre mais il pardonnerait.
L'Abstinence, combien de temps tu peux tenir ? : Une semaine ?
La chose la plus folle que tu aies faite au lit ? : Le faire attaché et les yeux bandés, mais il faut vraiment avoir confiance dans son partenaire...
La phrase que tu aimes dire après l'acte ? : Huuum...
Ton plus grand rêve ? : Avoir des enfants !
Quel a été le plus beau et le pire jour de ta vie ? : Le plus beau, lorsqu'il a vu son fils pour la première fois, le pire, lorsque ses parents sont morts.
Ce que tu aimes le plus au monde ? : Parler !
Quelle est ta plus grande peur ? : Mourir seul.
Si tu pouvais changer une seule chose dans ton passé, ça serait ? : La mort de ses parents. |
CE QU'IL SE PASSE DANS TA TÊTE : - Ta plus grande qualité : Son altruisme. - Ton plus gros défaut : La manie qu'il a de coucher tout le temps. - Un Tic, une manie ? : Il se balade souvent torse nu et il joue avec ses lunettes de soleil. James est un garçon sensible du genre qui pleure devant Titanic. Il se fait passer pour une grosse brute et se cache derrière ses poings mais au fond il est très fleur bleue et il n’utilise jamais la violence. C’est aussi quelqu’un de têtu, on ne peut pas le faire changer d’avis, dès qu’il a une idée en tête c’est pour de bon. Il a tendance à se montrer un peu moqueur avec ses amis, ou ses élèves. Il est aussi souvent dans la lune, c’est un réveur mais ça ne signifie pas qu’il n’écoute pas, au contraire. En société, il sait se montrer sociable, il fait preuve d’un optimisme sans borne et il est souvent de bonne humeur. En privé –que ce soit homme ou femme- James est très romantique, il offre des fleurs, dit à son conjoint qu’il l’aime, il n’est pas du genre à avoir des relations d’un soir. Il croit au coup de foudre comme celui qu’il y a eu entre sa mère et son père. Il est néanmoins très mystérieux sur son enfance, il n’aime pas trop parler de ses parents et encore moins de son fils, Stan. Il adore son boulot et ses élèves, qui le lui rendent bien –il a été élu plusieurs fois prof le plus sympa et le plus sexy de sa fac-. Il est aussi sorti avec une de ses élèves pendant 2 ans. Pour finir, il joue du piano et de la guitare, il a apprit tout seul et joue les chansons de son père dans les bars certains soirs.
UNE JOLIE PETITE HISTOIRE :
« Il était une fois, une princesse magnifique mais fière et prétentieuse. Dès que quelqu’un se présentait pour lui demander sa main, elle lui posait une énigme, celui qui la résoudrait, deviendrait son époux. Trois tailleurs se mirent en tête de l’épouser. Les deux premiers étaient âgés et connaissaient bien leur métier. Le troisième était jeune et écervelé mais il se pensait chanceux. Les deux tailleurs se moquèrent de lui « Rentres donc chez toi ! Tu n’es pas bien malin, tu n’iras pas loin ! » Mais le petit tailleur répondit qu’il était bien décidé à réussir. Ils arrivèrent chez la princesse qui leur dit : -J’ai deux sortes de cheveux sur le crâne, de quelles couleurs sont-ils ? Le premier répondit qu’ils étaient noirs et blancs et le second qu’ils devaient être brun et roux. La princesse les renvoya en ricanant. Le petit tailleur s’avança alors et dit : -Vos cheveux sont d’or et d’argent, belle princesse. La princesse ne pouvait pas croire que quelqu’un ait résolu son énigme aussi, elle lui annonça : -Tu n’as pas encore conquis ma main, ta seconde épreuve consiste à passer la nuit avec l’ours qui se trouve dans l’étable ! Mais le petit tailleur ne se laissa pas impressionner : -Qui ne tente rien n’a rien ! Le soir venu, l’ours tenta de manger le petit tailleur mais ignorant totalement la grosse bête, le petit tailleur sortit des noix de sa poche et s’installa dans un coin pour les manger. Lorsque l’ours en voulut, le tailleur lui donna des cailloux et l’ours ne put casser la coquille de ces noix, il les rendit au tailleur et lui ordonna de les ouvrir. Le tailleur prit une véritable noix et croqua dedans pour enlever la coquille, il dit à l’ours : -Tu es un ours et tu n’es même pas capable d’ouvrir des noix ! -Puisque tu y arrives, je devrais y arriver aussi ! Le petit tailleur donna les cailloux à l’ours et malgré tous ses efforts, il ne put les ouvrir, bien évidemment. L’ours était très contrarié. Quelque temps après, le petit tailleur se mit alors à jouer du violon et l’ours enivré par ce son commença à danser, il dit au tailleur : -Moi aussi, je peux jouer du violon ? Tu pourrais m’apprendre ? Le petit tailleur accepta et regarda attentivement les pattes de l’ours. -Tes griffes sont beaucoup trop longues ! Il faut les couper ! Le petit tailleur coinça les pattes de l’ours dans un étau et alla chercher des ciseaux. A son retour, l’ours dormait, prisonnier de l’étau. Le petit tailleur s’endormit à son tour. Au petit matin, la princesse, croyant le bonhomme dans le ventre de l’ours, entra gaiement dans l’étable. Le petit tailleur était en vie et elle était obligée de lui accorder sa main. Son père organisa les noces et ils vécurent heureux jusqu’à la fin de leur vie. »
-Alors tu vois, il suffit d’être déterminé et malin pour avoir ce que tu désires. -Mais papa, la princesse ne voulait pas épouser le tailleur, comment ils ont pu vivre heureux ? Ma mère éclata de son merveilleux rire cristallin, elle me disait tout le temps que j’étais plus éveillé et mature que les autres enfants de mon âge. -Et bien, elle s’est rendue compte que ce mariage n’était pas si horrible et avec un peu de temps, elle tomba amoureuse du tailleur. Il prit maman dans ses bras et l’embrassa tendrement. -Tu crois que moi aussi je rencontrerais une princesse aussi belle qu’intelligente ? -Mais j’en suis sûr, quand tu seras devenu un grand garçon tu trouveras ta princesse ! Il posa un baiser sur mon front, ma mère aussi. -Je t’aime mon chéri, promets moi de ne jamais l’oublier. -Promis maman, je t’aime aussi. Elle éteignit la lumière et sortit. C’était un soir comme les autres, ils allaient au cinéma comme souvent le vendredi, juste après m’avoir bordé. C’était un soir comme les autres. Ils prirent la voiture, sauf qu’après ce soir là, je ne les ai plus jamais revus.
Cette nuit là, je fis un cauchemar, je voyais ma mère brûlée vive au milieu du champ dans lequel on allait pique-niquer le dimanche. Freud dirait que ça annonce la fin d’une période heureuse. J’avais 10 ans, pour moi, c’était seulement la dernière image que j’avais de ma mère, je pouvais ressentir la souffrance qu’elle avait enduré jusqu’à sa mort, jusqu’à ce que le lien entre elle et moi se brise à jamais. A mon réveil, ma sœur était sur mon lit, elle semblait triste, elle avait compris aussi. La femme de ménage arriva en pleurs, elle répéta plusieurs fois qu’on était trop jeune pour avoir à supporter cela, que Dieu avait commis une erreur. Elle ne nous dit même pas que nos parents étaient morts, elle nous prit dans ses bras, elle était gentille mais je ne voulais pas de sa pitié. Une assistante sociale vint nous chercher, ma sœur, et moi. Ma sœur avait été déposée chez mes grands-parents dont ils avaient mystérieusement retrouvé la trace. Etrangement, ils ne me voulaient pas et je fus emmené à l’orphelinat.
Il était une fois, une histoire qui ne pouvait pas se terminer par « ils vécurent heureux ».
Je ne retrouvais ma sœur qu’une dizaine d’année plus tard, elle était ma seule famille et je l’avais perdu en même temps que mes parents. Elle me manquait autant qu’eux, je l’avais toujours adorée malgré notre courte période ensemble. J’avais obtenu facilement mon bac avec mention et je commençais mes études à la fac pour devenir professeur de langue. J’avais trouvé l’adresse de mes grands-parents. Je sonnai à la porte de leur maison. Une jeune fille vint m’ouvrir, elle était si belle, c’était le portrait crachée de notre mère, je la pris dans mes bras. Elle me repoussa en me regardant de travers, elle ne devait pas me reconnaître.
-Vous voulez quelque chose, monsieur ? -Excuses moi, je suis si heureux de te revoir, je suis James, ton frère ! -Je n’ai pas de frère. Allons bon, c’était sympa de la part des vieux de ne pas lui avoir parlé de moi. Je me doutais bien qu’elle ne pouvait pas se souvenir de moi mais nos grands-parents auraient pu lui parler de moi. -Qui est-ce Emily ? Je devançai ma sœur, -C’est James, votre petit fils. Emily me laissa entrer et je m’asseyais en face de la vieille dans le salon. -Quelle joie de te voir. -Je n’ai pas eu la chance de grandir avec ma sœur et elle ne savait même pas que j’existais mais c’est une joie de me voir ? -Tu devrais nous remercier d’avoir pris soin de ta sœur, tes parents ne méritaient pas qu’on s’occupe de toi ou d’elle ! Emily parut choquée d’entendre ça mais j’étais pratiquement certaine qu’elle devait avoir l’habitude d’être blâmée pour les actes de nos parents. -Si j’ai bonne mémoire, ils sont partis parce que vous vouliez que votre fille de 16 ans avorte. Ce n’est en aucun cas ma faute ou celle d’Emily si nos parents ont fugué. -Tu n’aurais jamais dû naître. A 16 ans, on n’épouse pas un musicien qui n’a jamais fait d’étude. Regardes où ça les a menés ! -Ce n’est pas l’amour qui les a tués mais un putain de chauffard ivre ! Mais vous ne pouvez pas comprendre ce qu’est l’amour… Je ne fis même pas attention au début de sa phrase, mes parents m’avaient toujours prouvé le contraire alors ce n’était pas les paroles d’une vieille femme sénile qui me désarçonnerait. -… Hmm… Bon John, Jack ? -James. C’était le prénom de mon grand-père, du mari de cette femme, il était mort quelques années auparavant. D’après ma mère, il était très gentil et il était un passionné de musique, il correspondait avec sa fille après leur fugue sans jamais l’avoir dit à sa femme. Je ne pouvais pas comprendre qu’il ait épousé cette folle. -Moui, c’est ça, je vais te laisser avec Mily.
Elle sortit de la pièce en me lançant un regard mauvais, je savais qu’elle m’en voulait d’être venu déranger son quotidien. Emily alla nous chercher des tasses de thé, personnellement, je détestais le thé mais je ne voulais pas l’offenser. Elle prit la place de sa grand-mère en face de moi, elle but sa tasse puis me regarda.
-Alors tu es mon frère ? Je suis heureuse d’avoir quelqu’un de ma famille. C’est difficile de grandir en se demandant sans cesse qui était ses parents. Et je suis désolée que grand-mère ne t’ait pas pris avec moi, tu sais, elle n’est pas méchante. Alors où as-tu grandi ? -J’ai été adopté par une famille du nom de Brendan, ils vivaient dans l’état de Virginie. -Ils étaient gentils ? -Plus ou moins, j’étais bien traité, au début. Je suis tombé amoureux de leur fille, on a commencé à se tourner autour, à s’embrasser, son père m’a tabassé, d’abord gentiment, puis il a apprit qu’on avait couché ensemble, il m’a filé une grosse branlée. -Oh mon dieu. Je ris. -Avec cette fille, on a décidé de s’enfuir ensemble après qu’elle m’ait appris qu’elle était enceinte. Son père nous a rattrapés à quelques kilomètres de la frontière. Il m’a tabassé à mort, ou presque et m’a laissé sur le bord de la route. J’ai été pris en stop par un camionneur qui m’a ramené à Philadelphie où j’ai commencé mes études à la fac. -C’est vrai ? Elle semblait réellement attristée d’apprendre ça, je lui souris. -Non bien sûr que non, je te fais marcher. Ma famille était très sympa. En fait, ce que je lui avais raconté était vraiment la vérité mais, je pensais qu’elle était un peu jeune pour que je lui raconte ça, surtout que j’avais failli reproduire le même schéma que nos parents et je n’avais pas envie de lui mettre ce genre d’idée dans la tête. Cette fille avait accouché de son bébé, son père ne voulait plus entendre parler d’elle mais sa mère avait décidé de la garder à la maison et de l’aider à s’occuper du nouveau né. Je l’avais retrouvé et lui donnait de l’argent tous les mois en secret. Je ne pouvais pas voir mon bébé mais on s’échangeait des lettres avec sa mère, c’était un garçon, il s’appelait Stanley, il avait mes yeux. Elle m’avait envoyé une photo que je gardais constamment sur moi. Emily me donna une tape derrière la tête, -T’es bête, je t’ai cru moi ! Enfin au moins, il ne t’est rien arrivé de grave, je m’en serai voulu sinon… -Ce ne serait pas de ta faute de toute façon. -Comment étaient nos parents ? Je veux dire, avant l’accident, ils étaient gentils, comment tu sais tout ça sur leur passé ? -Ils étaient parfaits, ils nous aimaient énormément, ils nous racontaient des histoires tous les soirs, Maman nous préparait nos plats préférés, elle te laissait manger des bonbons le soir dans ton lit. -Tu te rappelles de beaucoup de chose, je ne me souviens de rien, tu as quel âge ? -23 ans et toi 16, nous avons 7 ans de différence, tu étais trop jeune, c’est pour ça que tu ne te souviens de rien. Et je sais tout ça parce que maman me l’avait raconté, elle me disait tout pour que je n’oublie jamais ce qu’elle avait fait pour me garder et pour me montrer à quel point elle m’aimait… Elle nous aimait. -Et Papa ? -C’était lui qui nous lisait des histoires, qui nous amenait à l’école, qui nous aidait pour nos devoirs, il était musicien, sa musique était magique, j’ai encore les quelques CDs qu’il avait produit. -On ne devait pas être riche… -On vivait d’amour et d’eau fraîche, l’argent ne fait pas le bonheur Emily. -On devait être heureux, comment sont-ils morts ? -Un chauffard ivre a grillé un stop juste devant le cinéma, notre père est mort sur le coup, notre mère a agonisé, longtemps, tellement longtemps. Des larmes perlèrent sur mes joues. Tu sais, j’ai ressenti en même temps qu’elle toute la douleur, la souffrance. Je pourrai même te dire avec exactitude le temps qu’elle a passé à l’hôpital ou dans l’ambulance, à la minute près. Jusqu’au moment où le lien s’est rompu, j’étais en paix, pour elle mais moi je me sentais si mal. Ce qui est étonnant c’est que je n’ai jamais ressenti d’empathie avec personne d’autre. Je m’essuyais les yeux doucement. -Je suis désolée James. Moi j’étais désolé pour elle, elle ne se souvenait plus de rien, elle ne savait même pas à quoi ressemblait notre mère. Mais tant pis. -Ce n’est rien. Je crois que je devrais y aller, ta grand-mère n’arrête pas de jeter des coups d’œil par ici, je crois qu’elle veut que je parte. -D’accord… je suis désolée de ne pas être la sœur que tu attendais, je ne me souviens pas de nos parents comme toi et j’ai refait ma vie, bien sûr je pense à eux mais pas comme toi. Je suis désolée. -Tu es parfaite. Je lui posais un bisou sur le front, et je quittais la maison. Je t’aime, je reviendrais te voir, c’est promis. Je quittais ma sœur, j’avais été heureux de la revoir mais elle n’était plus celle que j’avais connu. Je rentrais chez moi, ce que je n’avais pas dit à Emily, c’est qu’avant de la voir, j’avais fait un détour. J’étais allé rendre une visite surprise au salopard qui avait tué mes parents. Il avait fait de la prison, quelques mois, il méritait une correction. Je l’avais tabassé, je me débrouillais bien avec mes poings mais je n’aimais pas utiliser la violence. Seulement, j’avais 23 ans et je n’avais toujours pas fait le deuil de mes parents. J’avais fini par lui mettre une balle entre les deux yeux. C’était la vie. Il le méritait. Du moins, c’est ce que je me disais pour donner une raison à mon acte. J’avais nettoyé sa maison, coupé son corps en petit bout, brûlé les vêtements, les morceaux de son corps. Puis j’avais enterré les os dans une forêt. Je savais que c’était mal mais j’avais fait des recherches sur cet homme, il avait battu sa femme jusqu’à ce qu’elle meurt d’hémorragie interne, il avait causé énormément d’accident de la route. Il le méritait. Après ça, j’étais allé voir Emily. Je m’allongeais sur mon lit, un courant d’air froid me fit frissonner. Ma mère apparut devant mes yeux, elle me souffla de sa voix angélique « Merci, je t’aime ». Je n’étais pas un meurtrier, ni un criminel, jamais je n’avais enfreint la loi, sauf cette fois. Il le fallait. Cela ne ramènerait pas mes parents mais je me sentais mieux.
L’éclaircie vient après la pluie. The Crow.
In real life,
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