The Mysteries of Paris
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment : -35%
Philips Hue Kit de démarrage : 3 Ampoules Hue ...
Voir le deal
64.99 €

Partagez | 
 

 Julian Thyren : petit mafieux aux rêves brisés

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité

avatar
Invité

Julian Thyren : petit mafieux aux rêves brisés Empty
MessageSujet: Julian Thyren : petit mafieux aux rêves brisés   Julian Thyren : petit mafieux aux rêves brisés Icon_minitimeLun 27 Aoû - 15:20


Once upon a time ...


~ PRENOM & NOM ~ Julian Thyren
Âge 26

Surnoms :
Certains le nomment Jules, mais il n'aime pas -paaan-

Origines (Où es-tu né(e) ?) :
Yougoslavie

Date de naissance :
14 octobre 1986

Métier :
maître chien

Groupe :
Héhé Police voyons =o

Orientation sexuelle :
Qui tu veux où tu veux =)

Si je te pince, tu dis ? :
Mon poing dans la face, plus rapide que de te parler =p

Plutôt Sucré ou Salé ? :
salé/sucré =p

Plutôt Eau ou Whisky ? :
Whisky

Plutôt Coup d'un soir ou Mariage ? :
Coup du soir, l'amour toujours n'existe pas alors le mariage ah ah.

Plutôt Coup de fouet ou Fessée ? :
Coup de Fouet chéri ;D

Plutôt Cigarette ou Bonbon ? :
Cigarettes, cigarettes, cigarettes

Plutôt Dominant ou Dominé ? :
Dominé (hé ouais surprise xD)

Plutôt Dangereux ou Affectueux ? :
Dangereux jusqu'à présent...

Que trouverait-on dans ton casier judiciaire ? :
J'ai déjà tué mais en étant militaire, donc il est blanc comme neige mon dossier (a)

A criminal and a cop...




~ Physique ~
Sur ton avatar ?

Couleur des yeux :
Verts

Couleur des cheveux :
Noirs

Couleur de peau :
Blanche

Ta taille :
1m 76

Ton poids :
68 kilos

La partie de ton corps que tu détestes ? :
Hum... Mes yeux.

La partie de ton corps que tu préfères ? :
Mes jambes =3

Quelle partie du corps t'excites le plus chez ton partenaire ? :
son torse ou sa poitrine.

Style vestimentaire :
Julian est souvent habillé de manière soit très élégante soit très décontracté. Au travail, il est toujours en costard, rue en costard, chez lui il est tenue très décontracte.

Signe particulier :
Julian a beaucoup d'ennuis de santé, mais s'en balance royalement. Du fait de son enfance soumise à une mauvaise hygiène, à un rythme de vie très survolté. Il a parfois des problèmes respiratoires. Mais c'est assez rare, personne ne s'en est aperçu. Ce n'est que lors d'un examen médical à son arrivée au continent américain que l'on a remarqué ce souci. Mais il s'est toujours fiché de tout alors il fera comme il a toujours fait... à sa sauce jusqu'au bout. Il a des séquelles dans le dos d'une fois où on l'a capturé. Sinon non à part son caractère... rien xD

~ And more... ~
It's useless but...

Quel est ton plat et ta boisson préférés ? :
Lapin à la moutarde et ma boisson les coktails de préférence des alcools forts.

Quel est ton film, ou ton livre, préféré ? :
J'aime pas les films, mais j'aime lire, je lis... beaucoup. * il a du rattrapper son retard mais est très ouvert niveau genre.

Quelle est ta fleur préférée ? :
Les fleurs de tilleul

Tu meurs demain, que fais-tu aujourd’hui ? :
Je bute celui qui me le dit et j'en profite pour prier pour voir si Dieu est un comique.

Ta religion ? :
AAAAAh ma question préférée =p ! La religion faudrait la fouttre dans les chiottes et tirer la chasse... * déteste les croyants férocement x) sinon il n'a pas vraiment de religion comme c'est un parieur invétéré.... il se dit s'il existe on aura des choses à se dire.

Consommation de drogue, d’alcool, de tabac ? :
*fume beaucoup* La drogue très peu pour moi * réagit mal à la drogue*, l'alcool quand tu veux mon bonhomme. * a une bonne descente et encaisse bien xD*

Ton avis sur l’avortement ? :
... Chaque vie a sa propre guerre, la vie et la mort sont liées à ce jeu alors pour tout dire j'ai pas d'avis sur ça.

Ton avis sur l’homosexualité/ La bisexualité ? :
Alors là les gens font comme ils veulent du moment qu'il me font pas ch***

Ton avis sur l'infidélité ? :
Le premier qui me trahit, je lui ôterai l'envie de recommencer...

L'Abstinence, combien de temps tu peux tenir ? :
Très longtemps... pas une priorité chez moi, ça ne l'a jamais été.

La chose la plus folle que tu aies faite au lit ? :
Alors moi j'ai varié les positions et les lieux car bon un lit à une certaine époque j'en avais pas tous les jours. Le mieux c'est dans les champs, on se sent les maîtres de ce p**** d'univers.

La phrase que tu aimes dire après l'acte ? :
On a géré grave !

Ton plus grand rêve ? :
De vivre ma vie comme je l'entends sans avoir à la subir à nouveau.

Quel a été le plus beau et le pire jour de ta vie ? :
La première fois que j'ai tué, mais bon hein c'est du passé et c'était pas la dernière victime alors bon...

Ce que tu aimes le plus au monde ? :
Ce que j'aime? Tous ces p**** coups du sorts qui nous tombent dessus. C'est hilarant sisi vous verrez qu'à force de constater, vous trouverez cela drôle...

Quelle est ta plus grande peur ? :
De m'attacher à quelqu'un, ça sert à rien, ça pollue l'esprit et c'est pas bon pour les affaires... Enfin ça doit être agréable de pas avoir des relations qui ne se basent que sur l'intérêt...

Si tu pouvais changer une seule chose dans ton passé, ça serait ? :
Mon passé ah ah, je m'en bats les ****** (en vrai d'avoir été un enfant soldat)


CE QU'IL SE PASSE DANS TA TÊTE :

- Ta plus grande qualité : c'est quelqu'un qui n'a pas le sens de la justice, mais tant que vous êtes loyal avec lui, il ne vous trahira pas.
- Ton plus gros défaut : son arrogance
- Un Tic, une manie ? : il se frotte souvent le menton avec son pouce ( des études montrent que ça signifie une volonté de prendre de l'ascendance sur l'autre), cligne beaucoup des yeux parfois ( suite à tous ces conflits auquel il a participé il a gardé une trace.)
Votre caractère. .
Julian est... irrespectueux surtout s'il ne vous aime pas alors là vous en prenez pour votre grade en remarque sèche. Il n'est pas susceptible, mais peut vous faire regretter de lui avoir manqué de respect. On ne saurait le qualifier parfois, ceux qui ont réussi à le connaître ne diraient qu'une seule chose : mystérieux. C'est comme s'il traînait un voile qui recouvre ses pas. Il ne cherche pas d'amis ou d'amant spécialement, il n'aime pas vraiment la solitude néanmoins. Il a un énorme sang froid et ne désespère pas facilement. Julian a une grande franchise qui frise le «  j'ai un truc à te dire et je vais pas me taire parce que ça te dérange ». Il est complice de beaucoup de criminels qui ne connaissent ni son visage ni son véritable nom souvent... sauf ceux qu'ils hébergent, mais alors là il vous faudra le persuader de vous aider et sincèrement bonne chance... C'est un homme qui a du survivre de nombreuses années et qui ne compte pas abandonner le jeu si vite. Prudence est son deuxième nom presque. Bien que soit réseau soit de bonne taille, il s'agit de quelqu'un de humble qui n'a aucun projet ambitieux, juste qu'on l'embête pas.
Il est fasciné par les coups du sort et aime parfois les provoquer, cela l'amuse, allez savoir pourquoi ! C'est un homme qui cherche à s'imposer ou du moins à être indépendant. Dans la police, il se débrouille très bien et arrive parfaitement à coincer les criminels susceptibles de lui faire faux bonds. Au travail, il n'est pas le collègue le plus agréble, mais il sait être efficace. Sinon il est quelqu'un qui se laisse aller et prétexte souvent de vouloir faire des pauses. On ne lui en veut pas comme il se donne à fond autrement. C'est quelqu'un de parfois absent, solitaire...

D'un naturel squatteur, il ne se gêne pas pour s'inviter chez les autres, se servir; il respecte peu de choses. Beaucoup ont du mal à s'attacher à lui et ça l'arrange, car il ne cherche pas à se faire aimer. Il cherche juste à servir les autres et qu'on le serve, c'est comme ça que sa vie marche et pas autrement. Il peut donc aider les autres parfois, ce n'est pas quelqu'un d’égoïste. Mais bon... il offre souvent son aide spontanément quand on s'y attend le moins. C'est un être violent, impulsif qui peut causer beaucoup de mal si l'on est son ennemi. Il peut grâce à son réseau tenter de vous faire avoir les pires crasses sans que vous sachiez qu'il s'agit de lui. Il n'est pas très rancunier sur la durée, si vous lui faites faux bond attendez un peu; sa colère sera amoindrie.
Julian a honte de son passé, il n'en parlera jamais. Il se souvient de tout. Un criminel lui a un jour demandé s'il serait de nouveau capable d'être ce qu'il avait été : une machine à tuer. Julian avait laissé un silence pesant avant d'ajouter " si vous me provoquez à ce sujet, je ne sais pas peut-être". Ce jeune homme est quelqu'un d'entier s'il vous répond par un entre deux, c'est mauvais signe, très mauvais signe. Si vous voulez vous attachez à lui... sachez qu'au début il vous offrira ses services pour bien vous montrer que bon voilà ça il accepte, mais il ne donnera jamais de sa personne. Si vous réussissez à le séduire, vous découvrirez une personnalité non pas dominatrice, mais dominé; il cherche un homme ou une femme forte et non pas un faible qu'il pourrait écraser. Il sait qu'il peut être dangereux... un poison. Julian rit souvent de cette affirmation en disant " je suis une mauvaise herbe tenace".
Les conflits ne lui font pas peur, il aime souvent les régler à sa sauce puis disparaître ensuite, il a un certain problème quand on le félicite. Il n'accepte pas... non pour lui il n'a rien fait pour qu'on le remercie.


UNE JOLIE PETITE HISTOIRE :
Qu'est-ce qui fait l'homme ? Est-ce son origine, le début de son existence ? Le regard des autres? Son histoire ou toutes ses valeurs qu'il acquiert avec le temps? Julian n'a jamais eu de réponse, mais sa vie toute entière fut tumultueuse, pleine de rebondissements qui ne lui ont donné que peu de temps pour une réflexion. Il fallait agir ou mourir, s'arrêter c'était déjà être mort et enterré. Le sang coule sur ses mains, ces mains qui n'ont fait que suivre ce destin qu'on lui avait donné. Le destin est une affaire de divinités... non c'est une affaire entre les hommes. Dieu fut inventé pour les oppresseurs et non les opressés, c'est du moins le point de vue de Julian. Dieu est le meilleur patron de l'univers, car il réussit à asservir en convoquant le principe de divinité. Pff. Foutaises que cela !  Voilà ce que pensait Julian de toute son âme s'il pouvait encore en avoir une. Sa vie toute entière était cadrée et tracée,il n'avait rien décidé.

Une détonnation. Il fallait se réplier. Ces fumiers avaient déjà tout prévu, c'était comme si une machine les écrasait toujours davantage. L'équipe de Julian avait été entièrement décimée, mais tant qu'il était debout, il se battrait. Il serait stupide d'offrir son corps aux balles. Julian sauta dans une jeep dont les pneus crissèrent, mais n'évoluaient pas. La boue était bien trop présente, mais il n'avait pas le temps. Il recula le siège avant pour pouvoir se dissimuler de son mieux. Ses habits étaient si boueux que cela pouvait passait éventuellement. Il n'était pas bien épais alors oui il espérait que cela puisse passer. Une infanterie passa près de la voiture. Chacun de leurs pas étaient comme un piétinement envers tous les morts. On lui avait souvent dit qu'une semi-victoire n'existe pas : « dans ce jeu qu'est la vie, il n'y a que des gagnants qui ont su tirer leur épingle du jeu et des perdants qui se sont faits dévorer sans jugement. »Ses compagnons tout comme lui avaient participé au jeu, ils étaients morts, hé bien ils n'avaient pas eu de chance. Il était bien inutile de les pleurer. Ils auraient fait de même pour lui.

Quand tout fut calme, il s'extraya de cette carosserie pour détaler rapidement vers un lieu pour s'y cacher encore un temps. Julian évoluait aussi près du sol qu'il le pouvait. Le risque subsistait toujours. Le terrain semblait avoiir déserté. Les deux armés s'étaient affrontées sur un terrain peu boisé, presque nu ce qui avait rendu l'affrontement plus que meurtrier. Les corps gisaient au sol, personne ne se donnerait la peine de les ramasser sous peine de perdre la vie. La guerre s'était si bien déroulée qu'on ne respectait plus rien pas même les morts. On marchait sur les morts aussi bien que sur les vivants. Prendre conscience de tout cela donnait l'impression de n'être guère plus animé que ce fusil froid qu'ils avaient sans cesse sur eux. Et comme ils n'étaient pas des enfants de cœur, sa troupe avait des coutelas pour achever les victime et un poison pour se donner la mort en cas de prise. Julian serrait sa poche de veste, cette poche intérieure que personne ne pouvait voir et qui renfermait cette capsule mortelle : du cyanure. La dose était si forte que la mort était instannée et presque sans douleur. Après il arrivait que la dose ait été mal préparée, ce qui conduisait à une mort lente et agonisante. Julian préparait lui-même ses poisons, il considérait qu'il devait maitriser au moins sa mort s'il ne maîtrisait pas sa vie.

Il faisait partie d'une force de vétérans très bien entrainés, très bien renseignés aussi. S'ils arrivaient aux mains de l'ennemi, on les ferait parler, on les torturerait plutôt que les tuer directement. Ils étaient tous des enfants soldats, recrutés depuis leur plus jeune âge. La plupart du temps, ils avaient tous eu une enfance cachée, dissimulée de l'Etat. Leurs missions pouvaient se dérouler potentiellement partout, puis par la suite ils étaient recrutés par la mafia qui versaient de l'argent en conséquence. Julian s'en fichait de tout cela, de toutes ces promotions alors que ces camarades s'étaient raccrochés à cela. Il ne pensait qu'à sa survie, qu'à l'instant car bon l'avenir sans présent, ça ne vaut pas grand chose. Cela ne servait à rien de s'inventer des rêves si on était pas sûr d'être encore en vie pour les vivre, n'est ce pas ?

Son corps tremblait de tomber sur une bombe. Elles étaient si vicieuses qu'elles n'explosaient pas tout de suite parfois et vous figeaient. Le mieux à faire était d'exploser avec plutôt que d'exploser en attendant un soutien qui parfois n'arrivera pas. Une fois, il était resté avec un membre de l'équipe piégé par une bombe de position. Au moindre mouvement, elle aurait explosé. Julian avec ce ton froid dont il avait le secret finit par lui dire : «  écoute bouge car personne ne viendra, moi-mêle je m'en vais ». Ils étaient dans une crevasse sans aucune chance qu'on vienne les chercher. Alors qu'il s'éloignait, il entendit une explosion et se mit à courir. Des escadrons viendraient sans doute vérifier leurs actions, vérifier que cette zone était libre. Il fallait qu'il fit loin, mais il s'en voulait d'avoir un tel mépris pour la vie parfois... Et c'était dans la même hantise qu'il évoluait au milieu d'un terrain sec très herbeux. Il haïssait ces terrains. Ils étaients traîtres... Non, il ne craignait pas les serpents ou les orties, mais bien ces maudites bombes, outils des lâches, des lâches qui aimaient voir des corps se déchiqueter d'eux-mêmes. Cela leur provoquait de la jouissance à tous ces gars, perdus dans cette guerre sans possibilité de retour chez eux ? Enfin.. Julian n'était pas un saint non plus. Pour survivre, il aurait été prêt à tout, mais il essayait de rester loyal autant qu'il le pouvait. Exclure des possibilités par contre non, il pensait à tout en avançant parmis ces débris de vie, de caillasse et de métal.

Un cours d'eau s'écoulait entre les tranchés des lignes ennemies. A cause d'un détour, il s'était rendu compte avec regret qu'il devrait évoluer parmi eux, au nez et à leur barbe... Quand il descendit, il retira certains de ses vêtements, ces vêtements qui indiquaient clairement son camp. D'accord c'était pratique pour localiser ses troupes à distance, mais là il risquait plus de se faire tirer dessus telle la cible humaine qu'il était devenue. Il réussit à s'inflitrer dans leur base... mais non à en sortir. Julian se fit passer pour un soldat que l'on aurait humilié et mis à nu. Mais au bout de quelques mois de surveillance, on le mit aux fers avec les autres prisonniers. On le tortura si bien qu'il en concerva des marques sur le corps : des restes de brûlures, de coups, de coupures. Julian échappa à la mutilation de membres. Un jour, il parla de son histoire les mains ligotés à un poteau. Un flingue allait et venait de ses pieds à sa tête comme une roulette russe qui irait selon son degré de collaboration. Julian balança ses patrons, ses compagnons qui ne perdaient rien car ils étaient six pieds sous terre soit tués ou sans doute suicidés.

«  Mon nom est Julian Tyren. Je suis né en Yougoslavie de parents aisés, mais décédés donc aucune prime pour vous. J'ai été à mon plus jeune âge recrutés pour être dans une milice à la suite de leur décès. Mon histoire n'est pas très passionante, je fais partie à présent d'un corps d'élite et si vous m'en aviez pas empêchés, je vous aurais quittés bien plus tôt et je serai loin. »
Le corps qui le retenais soupira quand ils entendireent qu'ils ne pourraient pas tirer de l'argent de lui.
«  Je suis un homme loyal, mais aussi un mercenaire si vous m'offrez davantage je vous suivrai. ** pour peu que je vive**.
C'est ainsi qu'il entra dans un groupe mafieux comme il aurait dû atérrir après la guerre. Finalement le cours des évènements n'avaient pas intéféré dans sa vie, alors il se mit à croire à une forme de destin, qui n'aavit rien de divin mais qui était juste bien ironique. Il remplit des missions qui l'envoyèrent aux Etats-UNis, pays qu'il avait servi avant d'être capturé. On l'accueillit comme un héros alors qu'il n'avait rien fait pour eux dernièrement, il avait juste survécu. On lui rendit au cours d'une cérémonie une récompense sans savoir qu'il agissait dans l'ombree toujours pour un groupe indépendantiste.

Ce qu'il n'avait pas avoué, c'était que durant son adolesence quand on se rendit compte qu'il n'était pas un garçon, ce fut un drame. En effet les enfants soldats étaient souvent comme chaire à canon, on ne s'attendait pas à ce qu'ils survivent ; la question du sexe ne dérangeait pas. Avant qu'il n'entre sous les ordre des américains la première fois, on l'opéra pour faire de lui un homme. C'est pourquoi c'est un jeune homme efféminé, mais qui n'a ni poitrine ni sexe féminin. On le trouvera juste assez effeminé de par le visage. Julian de son véritable prénom Julia ne se rapelait plus vraiment de cette étape de sa vie. C'était au début de son adolescence. On s'était aperçu de ce détail dérangeant. Il avait été retiré de ses fonctions. On lui promit une promotion suite à ses compétences s'il faisait cette opération. Enfin ça c'était pour le côté officiel, il n'avait pas vraiment le choix.

Alors de Julia, il devint Julian. Son nom de famille vient d'un lieu où il a eu sa première victoire. Son identité s'est véritablement formée à coup de larmes et de sang jusqu'à ce qu'il fut remis à la vie civile. On lui obtint des papiers et on mit ses informations antérieures, certaines, sous secret défense. De dix sept à vingt cinq ans, il fit tantôt des missions officielles en tant que chef d'une section tantôt des missions en solitaire en tant qu'agent. Les agents sont parfois remis à la vie civile pour qu'ils ne « sortent pas trop du lot ». Sur ses papiers est seulement retracé son parcours militaire qui a commencé à dix sept ans. Aucun papier ne retracera jamais sa carrière d'enfant, où le seul prix qui lui était reversé était sa survie.

Flashback :
Une maison fastueuse, des époux qui s'entendaient assez bien, une propriété entetenue et bientôt un enfant qui allait naître, voilà un environement plus qu'hospitalier. Ils eurent même selon les dires plusieurs enfants comme la fortune assurait un bon soutien pour leur subsistance, pourquoi s'en priver ? Julia, l'ainée, eut une enfance des plus normales baignée par le faste et la fortune jusqu'à ses cinq ans, date où ses parents perdirent la vie et où elle fut amenée à un orphelinat. Les orphelinats de l'époque étaient délabrées, abandonnés. La structure étaient composés de plusieurs baraquements en bois aux plaintes écartées. L'eau s'infiltrait facilement, mais l'essentiel était d'avoir un toit ! Sa luxuriante demeure avait été prise d'assaut et les rebelles n'allaient certainement pas lui rendre en disant «  excusez- nous mais c'est à vous ? ».
La petite n'avait pas l'habitude d'être logée aussi mal. Elle pleurait énormément jusqu'à ce qu'un jeune garçon de son âge vint lui coller une giffle mémorable.

«  Arrête ! »

Ce mot résonna dans sa tête si fort qu'elle s'arrêta aussitôt. Elle leva sa tête avec ses yeux ronds encore humides de sa crise de larmes. C'est à partir de cet instant qu'elle se raccrocha à un individu, à partir de six ans. On les chariait souvent en disant qu'il était son «  petit camarade ». Son petit camarade devint plus agréable, il en avait surtout assez de la voir se plaindre. Ils étaient tous à la même enseigne ici après tout.. Et puis mieux valait d'être ici et ensemble que seul à crever dehors. Il y avait certes des conditions insalubres dans ces locaux, mais en se serrant les uns aux autres on arrivait à obtenir une bonne chaleur collective et souvent on oubliait, on oubliait où l'on se trouvait... l'espace d'une nuit.

Ils formaient avec ses camarades une bande de six qui se suivaient tous les uns avec les autres. Ils étaient sept avant, mais Dimitris, un garçon malchancheux, était mort de maladie. Une nuit, il s'était endormi contre eux, il s'était endormi avec le sourire, un sourire qui jamais ne s'effacerait. Des adultes vinrent l'enterrer au milieu des enfants. Certains comprenaient ce qu'ils se passaient, d'autres pleuraient car choqués de cette expérience. Julia fixait ce gouffre en se disant qu'elle le rejoindrait peut-être un jour. Elle serrrait la main de celui auquel elle se raccrochait de toutes ces forces. Ils n'aavient qu'un an de décalage, mais il lui semblait si sage qu'elle en fit son modèle. Les responsables de l'orphelinat étaient certes des gens honorables, mais ils apparaissaient parfois si distants...

Vers ses sept ans, des hommes vinrent la chercher. Elle ferma les yeux et ne broncha pas. Il lui avait appris à accepter la réalité des choses mine de rien très tôt. Et puis bon elle se sentait desensibilisée du moins de ce qu'elle avait vu. Elle fit ses premières missions qui consistaient surtout à s'introduire dans des tunnels et ouvrir des portes sans éveiller l'attention des gens ensommeillés. Plus tard, elle comprit comment sa maison s'était trouvée envahie. Son passé lui paraissait si lointain qu'elle n'en eut même pas la force ou l'envie de se venger. Qu'importait ce qui avait bien pu se passer ce soir là , l'important était de remplir ce qu'on lui assignait et tout irait bien, n'est-ce pas ?

Vers dix ans on considéra qu'elle pouvait porter un couteau et son rôle consista à venir trancher les chevilles des attaquants si le duel s'éterniser. Elle ne put le faire... elle reculait en mettant sa main devant sa bouche de peur qu'un son ne sorte. On lui confia alors un pistolet et on la forma pour qu'elle puisse payer ce qu'elle mangeait. Vers ses onze ans, on la sortit de tout cet entrainement de tir et de lutte ( on en profita pour lui apprendre à se défendre) pour la mettre dans un conflit. Elle n'osait toujours pas tirer de peur de faire un mauvais tir et qu'on l'aime moins. Pour elle, le mot « aimer » devenait de plus en plus « satisfaire et obéir ». Elle était joyeuse lorsqu'on mettait ses cheveux en bataille ou qu'on lui donne des tapes encourageantes dans le dos. Lorsqu'elle désobéissait, on la remettait à l'entrainement... jusqu'à ce qu'elle ne soit plus dégoutée à s'en servir. Même si leur usage lui était familier, elle résistait « comme une mauvaise herbe ». Le chef faisait que de répéter cela en disant que bien qu'elle soit discrète, qu'elle sache obéir au doigt et à l'oeil ; elle n'avait encore tuer personne pas directement du moins.

Qui aurait cru que cette enfant puisse avoir un devenir si sanglant... ? On persista à la rudoyer et elle finit par changer petit à petit. Le chef disait qu'une petite aussi têtue serait un bon filon si on réussissait à la briser. Elle tua sa première victime grace à quelqu'un qui mit sa main sur ce flingue qu'elle tenait et visa la tête d'un prisonnier. Julia se statufia devant ce qu'elle venait de faire. On la laissa aller près du cadavre. Il était bien plus sanglant que celui du jeune garçon... « il faisait plus mort » s'était-elle répétée ce jour là.
Julia eut un petit blocage, mais on ne chercha pas à la ménager. On la céda à une unité supérieure, où elle fut utilisée comme chaire à canon avec d'autres enfants plus âgés qu'elle. Sa troupe d'origine la reprit toute fièvreuse qu'elle était. Les coups de mitraillette avaient eu raison de sa lucidité. On leur rapporta qu'elle avait su être discrète et agir comme une vraie « petite » combattante. Le chef fut satisfait et ses missions devinrent de plus en plus difficiles. Sa participation en tant que mercenaire devenait de plus en plus onéreuse jusqu'à ses quatorze ans où une troupe qui l'avait embauché s'aperçurent qu'elle n'était qu'une fille. Elle eut alors son opération et devint Julian. D'ordinaire les médecins ne font jamais d'opération pendant l'adolescence, âge où l'identité s'affirme plus qu'à l'enfance, mais un bon graissage de patte arrangeait bien les affaires. Et après avoir remis une certaine somme, ils eurent un homme en bon et dû forme comme ils le souhaitaient.

Julian n'avait pas son mot à dire. On choisissait pour lui ses missions et il n'avait les objectifs de mission qu'une fois sur place. On faisait éloge de son sang froid, mais on se gardait bien de lui déplaire. Bien qu'il réponde comme un chien aux coups de sifflets, il avait développé sur le terrain un fichu caractère. Il faisait toujours ce qu'on lui ordonnait, mais toujours à sa sauce. Son esprit de stratège s'était affiné avec le temps. Il savait comment se comporter lors d'une bataille et se donner le maximum de chance de l'emporter. Jadis on l'avait progressivement appelé «  Julia, crève coeur », mais son nom évolua vers «  Julian, l'insaisissable ». Il lui arrivait d'être capturé, mais il était souvent relâché comme il était mercenaire et ne travaillait que pour l'argent. Son sens de la justice est donc très limité, « le plus juste est de se protéger soi même de ce monde qui nous étouffe ».
Fin du flasback

Fervent adepte de l'ironie, il trouva cela comique à son retour à la vie civile de postuler dans un poste de police. Et terriblement mesquin d'utiliser ce qu'il apprenait pour mettre des bâtons dans les roues de ses employeurs. C'était comme une vengeance de tout ce qu'il avait subi. Il se fit fort de protéger les criminels de cette justice parfois trop étouffante. Après il fallait trouver son réseau, retrouver sa trace ce qui n'était pas aisé. Les seuls qui étaient parvenus étaient souvent des personnes qui comme lui voulaient se battre mais qui n'en avaient pas les moyens. Julian offrait de nombreux moyens : falsification d'identité, informations sur les activités de la police, conseils pour ne pas se faire avoir. « Dans le fond, une ville n'était-elle pas une guerre silencieuse, où le pouvoir des mots devenait assassin ? »

Il devint chef d'un groupe indépandiste dont la structure se rapprochait d'une mafia comme elle se cachait et aidait secrètement des criminels faisant de Julian un complice et non plus un acteur. Il avait bien assez agi, il était temps pour les autres de devenir les acteurs de cette guerre. Julian s'occupe d'un chenil et dresse des chiens pour la police. Il possède quelques employés de confiance, mais surrtout une belle propriété où ses compagnons canins peuvent pleinement utiliser leurs potentiels. Des bergers allemand du meilleur lignage étaient dressés pour traquer des fugitifs. Qui donc aurait pu le suspecter de n'être rien d'autre qu'un usurpateur avec une telle action ? Surtout qu'il ne faisait pas qu'en vendre à la police, il en utilisait un sur le terrain. Car oui, n'oublions pas il est de la police. Sa carrière militaire antérieure faisait de lui «  un bon défenseur de la justice ». Cela restait encore à confirmer...

HS : [pour son histoire de changement de sexe je peux retirer. J'ai trouvé cela original mais d'un côté je trouve que ça fait trop... enfin bref je trouvais ça sympa avec le perso. Puis bon une fille chez les militaires parfois ça passe mal au pire je supprime tous les la c'est vite fait XD]




In real life,

.


Ton pseudo : Ethanounet
Ton âge : 24
Niveau de Rp ? : moyen
Où avez vous découvert le forum ? : ça je sais pas o_o
Qu'en pensez-vous ? : ah ben si j'ai 3 comptes ça répond à la question je crois <3
Un commentaire ? : Nah u_u
Le mot magique du réglement : {Validé par Tony <3}
Revenir en haut Aller en bas
Invité

avatar
Invité

Julian Thyren : petit mafieux aux rêves brisés Empty
MessageSujet: Re: Julian Thyren : petit mafieux aux rêves brisés   Julian Thyren : petit mafieux aux rêves brisés Icon_minitimeLun 27 Aoû - 20:51

Re-bienvenue ♥

Personnellement je te valide ! Ca m'a choqué cette histoire de changement de sexe -pan- Mais bon je trouve ça cool /zbam Tant que tu ne fais pas une fille -quoi ? Non j'ai rien contre les filles ! AHEML-

Bons rps avec ton new compte. ♥
Revenir en haut Aller en bas
 

Julian Thyren : petit mafieux aux rêves brisés

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 

 Sujets similaires

-
» Kevin, THE mafieux. // Pas terminé.
» Petit Gabriel *w*
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
The Mysteries of Paris :: Présentations-