The Mysteries of Paris
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 Travail, lieu de tous les crimes. [ Pv : Ethan. ♥ ]

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MessageSujet: Travail, lieu de tous les crimes. [ Pv : Ethan. ♥ ]   Travail, lieu de tous les crimes. [ Pv : Ethan. ♥ ] Icon_minitimeLun 17 Sep - 15:19

Ne t'en fais pas, « suicide » ne fait pas parti de son répertoire, il s'aime trop pour ça !

Assis sur un banc, je regardais l'horizon. Je me trouvais sur une grande place située sur la côté. Je regardais la mer, pensif. Cela faisait longtemps que je n'étais plus venu ici. A cette heure, il n'y avait presque aucun bruit à part quelques voitures qui passaient par là et certaines personnes faisant leur jogging. Et moi j'attendais que le soleil apparaisse plus amplement, assis sur ce banc en pierre. Rester assis à ne rien faire n'était pas dans mes habitudes. Mais c'était le dernier matin de mes congés forcés et, reprenant le travail dans deux heures, j'avais eu le temps de venir ici, admirer la superbe vue. Même moi j'appréciais quelques moments de tranquillité. Je préférais le calme à la compagnie. Je n'étais pas de très bonne compagnie, d'ailleurs... Je me demandais comment faisait Nathanaël pour me supporter lorsqu'il venait me voir. Je ne faisais aucun effort pour être sympathique. En temps normal, au travail j'entends, j'essayais d'être poli, un minimum social, parce que je n'étais proche d'aucune personne. Mais avec Nathanaël, ce n'était pas pareille. Je l'aimais autant qu'un frère pouvait aimer le sien, j'avais confiance en lui. C'était sans doute pour cela que je refusais catégoriquement de voir la vérité en face, en ce qui le concernait. Sa dernière visite avait été mouvementée. Il m'avait révélée des choses que, jusqu'à lors, je refusais de concevoir alors qu'elles étaient évidentes. Il m'avait prouvé – ou envoyé en pleine figure avec la violence d'un coup de poing – qu'il m'arrivait de me tromper, que je n'avais pas toujours raison, que je ne voyais pas tout. C'était vrai. Je n'avais pas la science infuse. J'aurais souhaité que ce soit le cas. Mais non. Il y avait des choses que j'ignorais. Des choses que je ne pouvais savoir ou deviner malgré ma supériorité intellectuelle et mon sens développé de la logique. Ca m'avait fait mal, ça m'avait déçu. J'avais, bien sûr, était choqué par les révélations de Nathanaël, mais, d'un côté, je n'avais pu afficher entièrement ce choque. J'avais surtout laissé éclaté une immense déception. Et plutôt que de retourner cette déception sur mon frère, je l'avais retourné contre moi. Déçu, et en colère, de ne pas avoir su, d'avoir fermé les yeux toutes ces années pour la simple est bonne raison que ce n'était pas possible parce que c'était mon frère. On dit que la vérité finit toujours par éclater. Est-ce que c'est vrai ? Sûrement. Nath' me l'avait prouvé.

Et puis... Il n'y avait pas que Nathanaël qui devait me supporter. Il y avait aussi Ethan. La seule personne que je considérais comme un ami. Il était vrai que je l'aimais beaucoup ce jeune homme plein de vie, plein de curiosité. Il était moins bête que les autres, sortait de l'ordinaire, ne faisait jamais rien comme tout le monde. Cela faisait quelques temps déjà que nous nous connaissions. Il était présent pour moi. C'était ce que je cherchais. Plus qu'un admirateur, un fidèle compagnon, un fidèle assistant, quelqu'un sur qui compter en tout temps et en toutes situations. Cette personne c'était, bien sûr, Ethan. Je pouvais lui demander n'importer quoi, je savais qu'il le ferait. Parce que c'était moi qui le-lui demandé. Du moins, j'aimais à penser de la sorte. Un peu de monde, c'est toujours mieux que d'être seul en permanence. Même si la solitude m'était fort agréable. Ethan savait tout de ma vie actuelle, du moins en partie. Il savait que je m'enfermais très souvent à double tour dans mon appartement, les rideaux et volets fermés, plongé dans le noir, peut-être drogué. Oui, c'est vrai, je me droguais quelques fois. Pas assez souvent pour être accro', mais assez pour stimuler mon esprit lorsque j'en avais besoin. Cela entraînait, certes, des effets secondaires très lourd sur ma personnalité, mais j'en était conscient et assumais totalement. C'était mon corps, mon esprit, j'en faisais ce que je voulais. La cocaïne me faisait sombrer dans la dépression, me coupait l'appétit – déjà si peu important – et séchait ma gorge. Pourtant, elle me libérait. Pendant une courte période, j'étais là, un peu plus euphorique que d'ordinaire, l'esprit plus fort que jamais, puissant physiquement et intellectuellement. Plus fort que n'importe qui sur terre, je le savais. Pour en revenir à Ethan, c'était... mon meilleur ami. Si l'on puis dire. Je n'avais aucun ami à part lui, donc... Bon. A part ces deux personnes, je ne faisais confiance à nulle autre. Peut-être avais-je tort ? Mais c'était trop tard maintenant ! Le mal était fait et, malgré mes bonnes volontés, je ne pouvais revenir en arrière. Je ne leur disais jamais rien, sur mes sentiments. Je ne leur disait pas « Je t'aime. » comme à un frère ou à un véritable ami. Je ne sortait pas avec eux pour rigoler, le soir, et boire un peu. Je ne faisais que les rabaisser, me montrer sarcastiques. Mais nous étions pourtant complices. Je le savais. J'en étais certain. Et j'avais toujours raison. Sauf quelques fois... Mais passons.

Je décidais finalement de me lever. Je n'avais que trop rêvassé en ces lieux. Il étai temps de me rendre au travail. Enfin ! J'avais cessé de tourner en rond comme un vulgaire poisson dans son bocal. J'en avais assez. Le bruit de la ville entière commençait à emplir mes oreilles de grondements torrentiels. Des passants me jetaient un rapide coup d'oeil, une seconde partagée et, ce soir, ou dans une heure, nous aurons simplement oublié. Mais l'heure n'était pas à la philosophie. Je marchais jusqu'à ma moto, garée non loin de là, sur un parking qui, à cinq heures du matin, était presque désert. A présent, des voitures le remplissait déjà. Mes yeux glissèrent jusqu'à une femme, bien portante, qui clopinait, la tête basse, le visage caché par les longues mèches de ses cheveux blonds. Je remarquais un hématome sur son bras droit, à demi dissimulé par la manche de sa veste noire. Elle grimpa dans une voiture après avoir déposé un sac dans le coffre. Quelqu'un semblait l'attendre à l'intérieur. Je détournais la tête, mis mon casque et montais sur ma moto. Ce n'était pas mes affaires, même ps intéressant. Pauvre femme, certes, mais à chacun ses problèmes. Je démarrais et pris la route jusqu'au poste de police où je travaillais.

Arrivé à destination, je descendis de moto et entrais au travail. L'odeur de café et de cigarette parvint à mes narines à peine la porte poussée et l'agitation ambiante m'envahit tout entier. Le retour à la vie intéressante. J'ouvris la porte de mon bureau, me laissais tomber sur le fauteuil, saisis un stylo et écrivis la plaque d'immatriculation que j'avais relevé dans ma tête tout à l'heure, sur le parking. Certes, cela ne m'intéressait pas... Mais tu es dans la police et ne peux nier avoir vu ce que tu as vu. C'était ça mon problème : je voyais toutes sortes de petits détails que les autres ne voyaient pas. La plupart du temps je me taisais. J'étais le seul à le remarquer. Les autres fermaient les yeux, faisaient semblant de ne ps savoir, ou alors, étaient trop stupide pour réellement le voir. Je tournais la tête vers la pile de dossiers qui m'attendaient. La paperasse faisait partie du métier. C'était toutefois le plus long à faire. Mais cela occupait mes nuits, m'empêchait de dormir et de rêver... De rêver des choses que j'aurais aimé oublier mais qui ne cessaient de me hanter. Des choses qui me hantaient dans mes rêves et dans la réalité, malheureusement. Je cauchemardais éveillé parfois. Passons. Je fermais un instant les yeux avant de saisir l'un des dossier. J'aurais nettement préféré reprendre le travail avec une enquête... Mais je gardais les yeux et les oreilles ouvertes, comme toujours. Avec un peu de chance, ces abrutis que me servaient de collègues auraient besoin de mon aide pour les aider. Je souhaitais revoir Ethan aussi. Je sortis mon téléphone de ma poche et appuyais sur son nom dans mon répertoire. J'hésitais entre un sms et un appel. Dans les deux cas j'étais maladroit. Mais que voulez-vous ? Les sentiments sont des choses futiles et inutiles. Malheureusement je ne pouvais nier en avoir quelques uns... Parfois... Je posais finalement mon Iphone sur mon bureau, sans rien faire. Je n'aurais su quoi dire de toutes façons, et n'avais pas le temps pour ces sottises.

Je continuais mes dossiers pendant un moment. Mon portable vibra soudain. Je le saisis entre mes doigts et décrochais. La voix de mon supérieur vrilla mes tympans. Il criait car un bruit de fond couvrait ses paroles. Il se trouvait à la mer ! Le roulement des vagues était reconnaissable entre mille. La mer vers laquelle j'étais ce matin...

« Around, vous avez bien repris du service, n'est-ce pas ? »
« En effet.»
« Nous avons donc besoin de vos services. Un meurtre a été commis au bord de la plage Est. Amenez une petite équipe. »
« Je vous suis tellement indispensable que vous m'appelez le jour de ma reprise. Je serais là dans vingt minutes. »

Je raccrochais, tentant de réprimer le sourire qui voulait fleurir au coin de mes lèvres. Je me levais, glissais mon Iphone dans la poche de ma veste, attrapais mon matériel rangé dans ma malette en cuir, sortis de mon bureau et appelais Lukas, un membre du service technique et scientifique de la police. Je n'aimais guère être accompagné de ces ignares assoiffés de sang et de chaire fraîche, incapable de relever le moindre indice sur une scène de crime. Je n'aimais pas Lukas, c'était un dragueur invétéré doublé de mensonge et d'hypocrisie. Mais il savait être utile... Parfois.

« Allez donc à la plage, côte Est, suivez le signale. Vous avez l'honneur d'être dans mon équipe pour cette affaire. »

Je le regardais tourner les talons en courant pour préparer son matériel. C'était rare que j’amène une autre personne qu'Ethan avec moi. Mon supérieur me houspillait souvent à ce sujet car certain membres de l'équipe n'allaient donc jamais sur le terrain. Mais qu'y pouvais-je ? Ce n'était pas de ma faute s'ils étaient incapables. Je sortis mon portable et laissais un message sur la boîte vocale d'Ethan :

« Quoique vous fassiez, Ethan, arrêtez. Mon affaire est bien plus importante que tout le reste. Je vous envoie le signale. A tout à l'heure. »

Je raccrochais. Rien ne m'indiquais qu'il allait venir mais je savais qu'il le ferait, n'est-ce pas ? Parce que j'étais son meilleur ami... Du moins je voyais les choses de la sorte. Au fond, j'avais peur qu'il ne vienne peut-être pas. J'enfourchais ma moto, et me dirigeais aussi vite que possible vers le signale de la plage. J'arrivais peu après Lukas. D'un rapide coup d'oeil, je vérifiais si Ethan était arrivé ou pas. Visiblement, pas encore. Ca ne saurait tardé. Sans attendre d'avantage, je m'avançais, montrais ma plaque au policier qui gardait le terrain et passais de l'autre côté des longues bandes jaunes.

« Alors, qu'avons-nous ? » s'enquit Lukas qui me suivait.
« Et comment le saurais-je puisque nous sommes arrivés en même temps ? Crétin. » dis-je en jetant mon regard méprisant et hautain sur Lukas.

Il haussa les épaules et, nos pas s'enfonçant dans le sable, nous arrivions vers notre supérieur à tout les deux. Il me sera la main. Je baissais les yeux sur la victime. Cheveux bruns, peau mat. C'est tout ce que l'on pouvait distinguer sur cette chaire morte. Mes yeux brillèrent un instant. Cette fascination morbide... Cette fascination qui ne me lâchait jamais. Je m'avançais pas à pas et m'arrêtais à distance raisonnable pour ne pas risquer de gâcher certains indices... Déjà sans doute brouillés par ces autres débiles qui s'affairaient. Le corps de la victime était dénudée. L'ouvrage était grossier et dégoûtant. A croire qu'elle avait été à moitié mangé par un requin, mais cela était un fait impossible. Je restais quelques minutes, pensifs, le regard posé sur ce cadavre.
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MessageSujet: Re: Travail, lieu de tous les crimes. [ Pv : Ethan. ♥ ]   Travail, lieu de tous les crimes. [ Pv : Ethan. ♥ ] Icon_minitimeDim 23 Sep - 0:58

Le bureau, l'ambiance confinée, l'odeur de renfermé commençaient à user Ethan. Il n'était pas de ceux que l'on enferme sans aucune fenêtre. Il rêvait de pouvoir repartir en enquête. Cela faisait bien longtemps que personne n'avait eu besoin de ses services en ce domaine. Comme il était à mi-temps, il se sentait parfois à part, mais cela avait été son choix. Il assumerait toujours chacune de ses décisions. Les dossiers étaient toujours mélangés à croire qu'un chat avait sauté dedans. Les personnes du droit aviaent pour réputation d'être rigoureux dans leur manière qu'ils avaient de gérer leur fonds. Alors il fallait qu'on lui explique pourquoi il était toujours obligé de passer derrière eux. Ses mains ne cessaient de prendre des feuillets, de les remettre dans le bon ordre, de tapoter sur son bureau pour que les feuilles soient droites, puis de les ranger. A force ses mains devenaient rèches comme celle d'un paysan faiasnt son labour quotidien. Un stagiaire était venu la veille et l'avait aidé mais il se coupait avec du papier. Ethan le conseilla sur une manière plus efficace de trier : ne jamais glisser sa main et autres gestes du même accabit, ne jamais prendre trop de feuilles à la fois et surtout mettre de la paumade en cas de peau trop sèche.

Les stagiaires l'appréciaient car il ne cherchait pas à les briser, il les encourageait. De toute façon, ils lui allégeaient son travail alors il pouvait bien faire ça. Il arrivait que ce jeune homme si doux qu'il puisse être utilise les autres pour son propre compte. En revanche, il aimait son travail et ne l'aurait pas tout de même trop alléger. Ethan se souvint d'une femme dont il s'était rapproché dans le seul but d'obtenir un dossier. Il lui avait menti de la plus belle façon qu'il soit, il ne s'était pas senti honteux. Le jeune homme savait que cetains moyens étaient nécessaires pour obtenir ce qu'il voulait et malheureusement parfois ne reculait devant rien. La jeune femme venait à lui parler, mais elle sentait que quelque chose avait changé. Le collègue qu'elle avait cru voir n'existait plus, elle n'avait eu devant elle qu'une chimère. Les étagères s'alignaient toutes parfaitement droites et biehn rangées comme des petits soldats. Ethan en soupira d'aise, il avait fini d'abattre ce travail.

Ses mains l'une contre l'autre ressemblaient à une pâte laissée trop longtemps au four, mais elles n'avaient aucune marque. Le papier n'arrivait plus à le blesser, il le connaissait pour l'avoir trop souvent cottoyé ses jours-ci. On devait considéré là haut que les petites affaires ne le préoccupaient pas. Ethan détestait qu'on ne le consulte pas et qu'on le considère comme un pion. La porte de l'étude une fois fermée lui semblait être une porte de prison. L'encadrement était composé de plusieurs arabesques sculptées dans le bois. L'ensemble formait des rubans qui venaient s'entremêlés comme une vigne sur des petites gravures. Le couloir s'étendait sur des mètres et des mètres où le même décor se répétait. Ethan sourit en songeant au nombre incalculable de fois, où il s'était perdu. Sa mauvaise orientation le conduisait encore dans des endroits insoupçonnés. Parfois, il prenait en flagrant délit de paresse des collègues qui s'empressaient de retourner à leur tache. Ethan était étonné qu'on puisse délaisser son travail au point de se cacher pour ne pas le remplir.. enfin ils faisaient ce qu'ils leur chantaient.

Enfin Ethan n'était pas du genre "gueulard", il avait toujours eu un caractère calme. Aussi lorsqu'on lui dit qu'il était convoqué chez le directeur pour parler de ses performances. Il eut un doute. Tout d'abord les supérieurs vous convoquent rarement pour vous féliciter et deuxièmement parce qu'il se doutait que ranger les dossiers ne valait pas qu'on lui décerne la médaille d'honneur. Alors qu'il se défendit de son mieux en enfonçant les traîtres qui avaient balancé qu'il traînait dans cette pièce, il sentit son portable vibrer. Il raccrocha pour qu'il tombe sur la messagerie de manière à ne pas interrompre ce débat houleux. Il l'avait fait à contre coeur en voyant qu'il s'agissait de John... De tous les appels de la terre enfin de son téléphone, il fallait que cela tombe sur lui ! Ce n'était vraiment pas son jour de chance...

Il se mit en route la mine basse mais le sourire au visage. Non, il ne coulerait pas. Il avait tout simplement dit au directeur qu'il recherchait un certain dossier que l'un de ces hommes avait égrené. Le rangement des dossiers était primordial. Vous n'alliez pas accuser de meurtre un voleur. Non, confondre deux dossiers pouvaient être gênant. Ils seraient licenciés sans préavis. Ethan s'en moquait. Ils n’avaient qu'à pas le considérer comme un rival. Sa voiture décrivit une large courbe, son chauffeur lui avait sorti mais avant qu'il ne monte, l'un des hommes lui ficha un coup d'oeil. Durant le trajet, il eut son oeil qui se gonflait toujours davantage. Son arrivée sur le terrain du crime fut discrète, il avait déjà sorti son calepin dans lequel il s'empressa de noter chaque détail. Sa tête se releva, son regard croisa celui de cet homme à qui il avait raccroché au nez. Il se tenait aussi droit qu'un homme de son niveau pouvait se le permettre, mais surtout il avait ce regard intraitable que Ethan admirait; N'était-ce là que la simple admiration lorsque Ethan en arrivait parfois à le désirer....?C'était souvent assez détestable car il savait que son sentiment ne pouvait être partagé, qu'est ce qu'un homme comme lui trouverait-il en sa personne? Il effaça toutes ces questions sans sens. On l'avait secoué car il s'était assoupi debiut, oui debout sans tomber. Lorsque ses notes manquèrent de lui glisser entre les mains, il se mit à écrire en prononçant chaque mot comme s'il lisait un psaume de la Bible.

" Si le corps est dénudé c'est que notre criminel a soit une esthétique peu pudique et peu respectable de la beauté, il l'aurait contemplé avant de poursuivre son oeuvre sot mais la blessure est importante. John, vous avez eu la patience de m'attendre? Je suis navré de l'attente... Avez eu des pistes pour le moment."

Il lui tendit son bras pour leur poignée de main habituelle. Ce geste symbolisait tant pour Ethan qui se sentait comme un égal.

( j'espère que ça t'ira)
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