"Qui veut manger Chinois ?"
• Âge: 32 ans.
• Origine {Où es-tu né?}: Dans le pays de Galle.
• Métier: Agent du FBI
• Groupe : FBI
• Relations: //
• Si je te pince tu dis... ? Mais faites attention ! °w°
• Plutôt Sucré ou Salé ? Salé !
• Que trouverait-on dans ton casier judiciaire ? (Plutôt pour les criminels.) : Rien. :3

Ethan Blavatsky

Niveau de Rp? Correct, je pense !
Où avez vous découvert le forum? ♫
Qu'en pensez-vous? ♥♥
Le mot magique du réglement:[Okay, Dr.Reid]i

Quelques renseignements supplémentaires ?

Quel est ton plat préféré ? La pizza !
Quelle est ta boisson préférée ? Un bon rhum coca !
Quel est ton film, ou ton livre, préféré ? Léon.
Quel est ton pays préféré ?L'Angleterre.
Quelle est ta fleur préférée ? Souci.
Tu meurs demain, que fais-tu aujourd’hui ? Je ne sais pas... °w° Je panique et je parle aux personnes que j'aime. °w° -pan-
Ta religion ? Catholique.
Consommation de drogue, d’alcool, de tabac ? De l'alcool de temps en temps mais c'est tout !
Ton avis sur l’avortement ? Hé bien je n'en ai pas, je respect les pensées de tous et chacun.
Ton avis sur l’homosexualité/ La bisexualité ? Etant bisexuel je n'ai pas d'avis. :3
Ton plus grand rêve ? Devenir quelqu'un d'important.
Quel a été le plus beau et le pire jour de ta vie ?Le plus beau quand j'ai rencontré Aya, le pire jour lorsque j'ai tué Aya...
Quelle est ta plus grande peur ?Faire du mal à quelqu'un que j'aime beaucoup.
Si tu pouvais changer une seule chose dans ton passé, ça serait ? Ne pas avoir repporté le rendez-vous d'Aya avec son petit copain...

Ethan est resté quelqu'un de très sérieux toute sa vie dans son travail. Il a réussit à faire une belle part entre travailler et ne pas travailler. Lorsqu'il prend une pause dans la journée -pour manger par exemple- il se détend un peu et devient plus joyeux. Son sens de l'humour, tout le monde le remarque, est assez grand et il se moque aussi bien des autres que de lui même. Il lui arrive d'être susceptible comme tout le monde mais essaie de ne pas prendre toutes les choses au pied de la lettre. Il est pourtant quelqu'un de très discret qui reste sans beaucoup d'amis; il culpabilise très vite et se confond alors en excuse. Il garde tout au fond de lui la colère qu'il peut parfois ressentir qu'on lui accorde si peu d'importance au FBI; on a collé une étiquette sur son front comme quoi c'est lui qui ramasse toute la merde des autres. Mais bon... Il ne s'est jamais plains, c'est aussi de sa faute... Il écrit toutes ses émotions dans un journal intime pour ne pas exploser, se qui a fait l'objet de plusieurs jours de moqueries à son travail. Ethan est tout de même quelqu'un de sympa bien qu'il soit discret et à tendance dépressive parfois, dommage qu'il se fasse si peu d'amis ! éwè

▪ Couleurs des Yeux ? Noirs
▪ Couleurs des cheveux ? Noirs.
▪ Couleur de peau ? Blanche.
▪ Quelle taille et quel poids ? 2mètres09 et 111 kg
▪ Tenue vestimentaire? Ethan porte toujours des costumes avec une cravate au travail. Il y tiens particulièrement parce que, selon lui, le travail est fait pour être sérieux. Chez lui, il est beaucoup plus décontracté et porte des chemises débraillées. Si ses collègues le voyait ainsi ils auraient une autre opinion.

"Salut ! Je m'appelle Ethan Blavatsky. J'ai 31 ans, né dans le Pays de Galle à Newport. Je pèse exactement 111 kg et mesure 1m09. Je suis grand, c'est vrai Je fais beaucoup de sport pour perdre du poids. Hé oui, il n'y a pas que les femmes qui peuvent se trouver grosses ! Je n'ai pas de hobbie particulier et je suis un homme à tout faire passant du ménage au maniement des armes à feu. Mes cheveux sont bruns/noirs et mes yeux également. Je suis bisexuel et célibataire depuis... quelques temps, après la mort de ma petite amie. Je suis agent du FBI et voici mon histoire...

Vous me demandez le souvenir le plus lointain que j'ai de mon enfance... Je dirais que je nen ai pas de très précis. Néanmoins je me souviens d'une scène particulière qui se passa un certain jour en octobre ou un décembre. Vous savez, mon père était businessman et ma mère avocate... Avec des parents comme ça il y a plutôt intérêt à être sur le bon chemin, et fort à l'école. J'étais troisième de ma classe et on ne m'aimait guère à l'école primaire. Si je travaillais dur c'était plus pour mes parents que pour moi même, ils m'avaient ancré cette obsession dans le crâne. J'avais pourtant une grande naïveté et je laissait dire les autres avec un sourire bienveillant. Ce souvenir dont je vous ait parlé quelques lignes plus haut se passa le jour où on décida de m'envoyer en pension. J'avais sept ans, je n'avais encore jamais quitté le foyer familiale mais j'étais l'aîné de quatre petits frères dont un autre était en route. Ma mère commençait à être fatigué de tous ces petits garçons turbulent et elle décida de se "débarrasser" de quelques uns. J'utilise ce terme parce que je suis certain que ce n'était pas son but mais simplement mon plus sincère ressentit. Ce jour-là, mon père avait quitté son bureau pour m'amener en pension. Ma valise dans une main, j'étais plutôt grand pour un petit garçon de sept ans. Je tenais ça de mon père qui mesurait dans les deux mètres quinze. Mes rares amis ouvraient toujours des yeux ronds comme des soucoupes en le voyant. Moi j'étais plutôt fier. Vous savez, tous les garçons dans leurs jeunes années idéalisent leur père comme des héros... Ce que je faisais !

Bref. Ce jour-là, j'avais une boule dans la gore, très attaché à cet endroit que je chérissait tant. Mon père n'affichait aucune émotion sur son visage et ma mère n'était pas à la maison. Nous étions gardés par deux femmes engagées depuis que mon premier petit frère était né. Mon père me poussa dans la voiture et nous roulâmes à toute allure en direction de la nouvelle vie qui m'attendait. Je ne rentrerais que pour noël et les grandes vacances m'avait-on dit. Et je n'avais ni eu mon mot à dire ni à pleurer. Oh ! Bien sûr que je l'avais fait, je n'étais pas si fort et courageux que ça comme petit garçon. Mais je l'avais fait plus tard, la tête sur mon oreiller pendant que mes petits frères jouaient tous sans se soucier de moi. Ils étaient tous tellement insouciant ! Je n'en revenait pas. Moi qui n'avait que sept ans je trimait pour avoir toujours des A dans toutes les matières et mes petits frères n'avaient pas à lever le petit doigt pour être adorés de nos parents. Je ne leur en voulait pas, j'étais l'aîné, je devais savoir tout faire, c'était très logique dans ma tête. Se qui me marqua le plus dans ce souvenir ce fut l'arrivée. Mon père me redonna ma valise et me fit un léger bisou sur la joue avant de repartir, m'abandonnant sur le seuil. Le voilà, le pauvre Ethan, qui ne connaissait rien de la vie, laissé devant un immense bâtiment qui lui faisait peur. Heureusement, on vint vite me chercher. On avait été prévenu. Même pas un au revoir.... Même si ce bisou était inhabituel. Je devrais m'en contenter. Une femme à l'air gentil posa une main sur mon épaule et m'invita à la rejoindre à l'intérieur. Je la suivit tranquillement. Je m'engouffrais dans les futurs années de ma vie...

Ensuite que se passa-t-il ? Oh ! Des tas de choses vous savez ! Je rentrais tous les ans à noël et pour les vacances d'été. Au début j'étais heureux de rentrer chez moi et mes petits frères m'accueillaient avec bonne humeur. Ma mère aussi, pour la première fois. Mon père resta stoïque, il avait l'air de s'en foutre. -Pardonnez-moi ce terme- J'étais triste de cela. J'en soufrais silencieusement. Je voulais tellement qu'il soit fier de moi, je voulais qu'il me le dise, qu'il me fasse un signe. Pour cela, je me surpassais aussi bien dans mon travail que dans la vie quotidienne. Quand j'étais à la maison je remplaçais la femme de ménage et faisait tout, meubles, poussières, rangement... J'appris à faire la cuisine aussi, un vrai cordon bleu me disait ma tante et ma grand mère lorsqu'elles passaient de temps en temps. A l'âge de mes douze ans c'est moi qui prépara le repas de noël, un grand buffet à moi tout seul... Bon d'accord ! J'eus l'aide de mes cousines aussi ! De vraies pies celles-là. Elles sont agaçante les filles. Enfin ça, c'est se que pensent tous les garçons de mon âge, je le savais bien. Nous ne cessions d'en parler en mal avec les garçons de mon dortoir au pensionnat ! Comment cela se passait-il là-bas ? Comme partout: des choses bien et des choses qui l'étaient moins. J'étais pris pour l'intello mais aussi pour un gars trop sympa et donc facilement exploitable. C'est à moi à qui on demandait toutes les tâches -surtout les profs le faisaient- et j'avais été nommé délégué sans même le vouloir. Mais je m'en tirais bien dans mes études. Je lisais. Beaucoup. Et je rêvais d'entrer dans le FBI ou quelque chose de bien comme ça. Pour moi ce n'était qu'un rêve et j'étais loin de penser qu'il serait un jour réalisable.

Je n'ai aucune anecdote à vous faire, part de mes années de pensionnat. Je vous dirais simplement que ce fut la plus grande partie de ma vie. Je partis de là-bas à l'âge de dix-huit ans pour aller faire ma fac. Je ne retournais alors que deux mois à la maison, le temps de me trouver un appartement. Je fis une collocation avec une jeune fille qui avait fait une annonce. Nous nous rencontrâmes un soir, près de la fontaine du parc. Elle habitait aussi à Newport. Nous sympathisâmes très rapidement, heureusement. Elle s'appelait Aya, avait des origines coréennes et je ne vous parle pas de l'effet qu'elle me fit. Toutefois je n'avais aucune expérience avec les femmes !! J'avais déjà couché, oui bien sûr, deux fois. Une fois parce que la fille c'était trompé de chambre -je n'avais pas essayé de la repousser, attendez. o.o- et la deuxième fois parce qu'on était tous les deux saoul. Comprenez, j'étais peut-être un gentleman très discret et "trop sympa" mais je ne semblait pas être le type de femmes. Trop grand, ça les impressionnait et ça leur faisait peut-être peur. J'ai arrêté de grandir à dix-sept ans, 2 mètres 09 c'est pas mal, n'est-ce pas ? Je me trouvais trop gros aussi, à l'époque je crois que je devais aire 126 kg. J'ai perdu beaucoup de poids après... Après la mort de Aya.

Ah... Je pense que je peux arriver à en parler maintenant, j'ai tourné la page. Du moins j'essaie peut-être encore parce que c'est moi qui l'ait tué. Nous ne sortions pas ensemble mais nous avions déjà eu des relations et je croyais que nous nous aimions mais elle avait un autre homme dans sa vie. C'était mon meilleur ami cet autre homme, Owen, et je l'ignorais jusqu'à lors. Owen avait tout pour plaire, séduisant, bien battit. J'avais plus de sens de l'humour que lui cela dit. Il me confia qu'il avait rendez-vous avec Aya le soir du nouvel ans à six heures trente précises, après la sortie du travail. Je décidais de leur jouer un tour... Enfin pas vraiment, ma mère m'avait dit d'avouer mes sentiments à la femme qui faisait ainsi battre mon cœur. J'avais décidé de le faire ce soir même. C'est pour cela que j'appelais Aya pour lui dire que, finalement, Owen m'avait dit de lui dire (Pas trop compliqué, ça va ?) que le rendez-vous se ferait une heure plus tard, à dix-neuf heures trente. Elle avait donc le temps de faire les heures supplémentaires qu'elle voulait faire pour gagner plus d'argent pour la fac. En parlant de fac, je me débrouillais bien comme toujours ! Et j'avançais à grand pas. Ce soir-là, je savais qu'elle rentrerait pour se préparer avant d'aller voir Owen et je pourrais lui avouer mes sentiments. Je voulais le faire de tout mon être, et tentait d'être donc moins maladroit. Mais elle ne vint pas. A vingt heures personnes. Je me fis donc à l'idée qu'elle avait rejoint Owen directement; tant pis, me suis dis-je. C'est bien mieux ainsi finalement.

Le téléphone sonna. Je décrochais. C'était la voix d'Owen, elle était roque. Je lui demandais se qu'il se passait et sa voix résonna comme un long écho dans les montagnes:

"Aya... A été renversée par un camion en sortant de son travail vers dix neuf heures... Elle... elle est morte sur le coup..."

Je lâchais le téléphone qui s'écrasa à mes pieds sur le sol. Il se brisa sans doute comme je marchais dessus en reculant. Mon dos heurta le mur alors que ma bouche s'ouvrait et se fermait. Mes mains tremblaient comme tout mon être. Je me laissait glisser au sol; je ne pouvais le croire. C'était... C'était ma faute ! Oui tout était de ma faute. Si je n'avais pas repoussé le rendez-vous qu'elle avait eu avec Owen je... Je n'aurais jamais... C'était moi le seul et l'unique responsable de tout ça. Ma faute. De part le seul geste égoïste que j'avais fait depuis le début de ma vie, du moins le seul qui aurait pu ruiner un couple. Au lieu de ça, il avait ruiné une vie... Il l'avait arraché au corps de ma précieuse Aya... Part ma faute !

Après cela, je partis en dépression. Mais malgré cela, je revint à mes études une semaine plus tard. Je ne souris plus beaucoup depuis cette époque, et j'avais se qu'on appela rapidement à travers toute la fac une "Sad Face". C'était vrai, je me trouvais laid, aussi bien intérieurement qu'extérieurement. Je ne me regardais qu'à peine dans un miroir et ce, pendant plusieurs années. Je me détestais. Et je me fis encore plus discret et serviable bien que dépressif et à légères tendances suicidaires. Je n'en suis pas très fier aujourd'hui, car je me trouve bien lâche d'avoir eu des idées noires. mais je suis pourtant entré dans le FBI, ce que je ne croyais jamais possible. Bon... Il est vrai qu'au FBI, bien que je sois quelqu'un de très utile au terrain comme ma précision de tire est très précis et mon calme un atout immense, je sert surtout à nettoyer derrière mes collègues. Aussi bien les déchets -cartons de pizza, et objets qui traînent- qu'à remplir des papiers, surveiller les ordinateur, etc... Même si je suis quelqu'un de bon sur le terrain, je n'y vais que très rarement, donc. Je n'ai pas trop cette habitude. Je suis toujours impressionné du calme encore plus grand que le mien de mes collègues. Lorsqu'ils perdent le contrôle durant une situation ils ne stressent pas, se que moi je commencerais à faire au contraire. Ils ont l'habitude et je peux devenir hargneux dans ces cas-là... Un peu jaloux, sans doute !

Voilà vous connaissez tout de moi... La suite vous la découvrirait bien assez tôt !

Au revoir.