"La chose que j'ai compris dans la vie, C'est que justement, il n'y a rien à comprendre..."
• Âge: 24 ans.
• Origine {Où es-tu né?}: Nevada, Las Vegas.
• Métier: Agent du FBI.
• Groupe : Membre du FBI
• Relations:
• Si je te pince tu dis... ? J'ai un flingue sur moi, tu veux jouer à ça ?
• Plutôt Sucré ou Salé ? Sucré.
• Que trouverait-on dans ton casier judiciaire ? (Plutôt pour les criminels.) : Rien, mes crimes ne sont pas dans mon casier judiciaire, je ne suis pas assez stupide pour me faire prendre.

Ophélia

Niveau de Rp? Correct je suppose.
Où avez vous découvert le forum? Sur un Top Site !
Qu'en pensez-vous? Il est super cool !
Le mot magique du réglement: [Okay by Morgan <3]

On passe des sucettes aux cigarettes,
Des verres de coca aux verres de vodka,
Des pyjamas parties aux boites de nuits,
Des barbies aux mecs sexy,
Des jeux mignons aux jeux cochons,
de l'enfance à l'adolescence.

Alex est quelqu’un de très intelligent, d’après les psys qu’elle a croisé, elle aurait un Q.I avoisinant les 160. Elle a toujours eu du mal à l’école, comme beaucoup de surdoué. Elle n’était pas mauvaise, loin de là, elle savait tout faire mais elle avait toujours du mal à expliquer comment elle le faisait. A partir du moment où elle est entrée à l’académie du FBI, elle s’est avérée être aussi douée en tir qu’en infiltration ou entrainement sportif. Elle obtint tous les diplômes avec facilité.
Alex est une personne assez frigide dans son boulot, elle garde ses émotions à la maison pour ne pas vomir devant chaque victime. Elle n’entretient d’ailleurs pas beaucoup de relation avec ses collègues mais les protégerait au péril de sa vie. Elle adore vraiment son travail et préfère étudier ses dossiers plutôt que fonder une famille. Il lui arrive de sortir en boîte de temps à autre mais elle n’aime pas vraiment danser, en général, elle sort pour ramener des mecs dans son lit qu’elle vire au levé du jour. Alex ne dort pas beaucoup de toute façon, elle se couche tard et se réveille tôt mais elle ne manque pas de sommeil, elle est comme ça. Elle s’implique beaucoup dans les enquêtes où il y a mort de flic, ou pédophilie. C’est une personne franche et loyale qui ne veut pas former une famille, elle aime les enfants mais ne veut pas en avoir. Elle est du genre croqueuse d’homme et pas du tout romantique, elle couche avec des mecs et les abandonne au matin, elle n’a jamais eu de relation sérieuse et n’en cherche pas. Elle a un frère qu’elle ne connait presque pas mais qui lui rend visite de temps à autres, d’après ce qu’elle en sait, il travaille dans un bar et il est du genre junkie. Mais il est gentil alors elle le laisse toujours venir chez elle.

On est tout seul quoiqu’on fasse. Ps : I love you.

▪ Couleurs des Yeux ? Bleus.
▪ Couleurs des cheveux ? Noirs à la base mais elle les a fait teindres en rouge.
▪ Couleur de peau ? Blanche.
▪ Quelle taille et quel poids ? 1m73 pour 55 Kilos.
▪ Tenue vestimentaire? Des robes farfelues, des tenues excentriques, des rubans énormes dans les cheveux, elle laisse souvent entre-apercevoir ses sous-vêtements, en fait, elle n'a pas de style propre mais elle porte des vêtements qu'on remarque, qui permettent que les gens se retournent sur son passage. Et qui, par la même occasion, emmerdent profondèment ses parents.

" « Je suis à moitié malade d’ombre… » Dit la dame de Shalott, Alfred Tennyson. "

« Non, non… Maman… Noon… »

Alexis ouvrit les yeux, ce n’était qu’un rêve, un simple rêve. Mais toutes les nuits elle faisait ce rêve, elle sentait qu’elle devait comprendre quelque chose mais elle ne trouvait pas quoi. Elle jeta un œil à son réveil, 6h. Elle avait dormi plus que d’habitude, étant donné qu’elle s’était endormie vers 1h du matin. 5 heures de sommeil étaient un record pour elle. Elle se leva, il faisait chaud dans sa chambre, elle ouvrit la fenêtre et respira l’air frais un moment. Elle enfila un jean noir et un haut de couleur identique. Elle n’avait pratiquement que du noir dans sa garde-robe. Elle se recoucha sur son lit et observa les photos accrochées à sa mezzanine. En ce moment, elle enquêtait sur les meurtres de trois femmes, elles avaient été violées, torturées et tuées. Il n’y avait aucun suspect et les enquêteurs piétinaient à trouver une liaison entre ces femmes. Alex avait disposé les photos des cadavres et des demeures des victimes au dessus de son lit, elle faisait toujours ça, ainsi, elle pouvait se concentrer et se mettre dans la peau de ses victimes et du tueur. Elle ne savait pas quoi penser de cette affaire. Le tueur devait être blanc, la trentaine, il les rencontrait sans doute dans des lieux publics donc il devait être séduisant ou persuasif puisque les victimes n’avaient pas eu le temps de se débattre. Mais elle venait de décrire la plupart des hommes de Las Vegas. Elle soupira, les tueurs en série ne prenaient-ils donc jamais de vacances ? De plus, il fallait qu’elle assure sur cette affaire. Deux mois auparavant, elle avait été mise à pied pour faute professionnelle, elle avait, en quelque sorte, balancé un pédophile par la fenêtre du 5ème étage de son immeuble, cet homme avait été relâché faute de preuve et il était coupable. Cette enquête était sa première depuis son retour. Elle se leva et prit son petit-déjeuner. Son portable sonna et elle décrocha.

« -Alex ? Je suppose que je te réveille pas, on vient de trouver, la dernière victime, il ne les garde plus que trois jours, il devient nerveux.

-Ok j’arrive. »

Et merde, elle pensait vraiment pouvoir la sauver celle là. Alex mit son blouson en cuir et ses lunettes de soleil. Elle ferma la porte de son appartement à clé. Son 4x4 était garé dans le parking, elle prit le volant et se rendit sur les lieux. Il l’avait abandonnée en plein milieu d’un parc, c’était des passants qui l’avaient trouvée. Toute l’équipe était déjà là et la jeune femme était en train d’être installée sur un brancard. Elle salua Ed’ –Ce qui ressemblait le plus à un coéquipier et son seul ami par la même occasion-. A part Ed’, personne n’était vraiment proche d’Alex parmi ses collègues de travail. Elle était considérée comme une femme froide et sans cœur, et ils la trouvaient un peu flippante. Mais c’était seulement l’image qu’elle donnait d’elle au boulot, en réalité elle était plutôt émotive et extravertie. Malgré ça, Ed’ l’avait toujours appréciée puis ils avaient fini par coucher ensembles mais ils se séparèrent et restèrent en très bon termes. Elle examina la victime, c’était le même mode opératoire. Alex posa sa main sur son front, elle avait une migraine vraiment douloureuse. Quelqu’un toucha son épaule, c’était Ed’, elle se redressa.

« -Ca va, tu n’as pas l’air bien ?
-Je vais mieux que cette fille en tout cas, remettons nous au boulot.
-Je ne faisais que demander Al’.
-Ne m’appelle pas comme ça !
-A vos ordres patron ! »

Il me fit un de ses sourires dont il avait le secret et qui lui remontait le moral. La suite de la journée se passa sans événement. Les quatre victimes fréquentaient le même parc d’après les témoignages des amis et de la famille. Il avait dû les aborder en leur proposant quelque chose qui les avait convaincues de se rendre à son domicile. Cela ne l’aidait pas beaucoup, personne n’avait vu les victimes discuter avec un homme avant d’être enlevée. Alex s’occupa d’annoncer à la famille la mort de la dernière jeune femme, c’était toujours quelque chose de douloureux, surtout qu’elle n’en savait pas assez pour leur promettre qu’elle attraperait ce salaud. Vers 21heures elle rentra chez elle. Son grand appartement était désespérément vide. Elle se servit un café et étudia le dossier, elle passait son temps à bosser. Il devait être minuit lorsqu’elle éteignit la lumière, elle ferma les yeux et attendit que le sommeil vienne la bercer.

Un bruit, Alex ouvrit les yeux, ce n’était sans doute rien. Elle percevait une respiration dans la pénombre. Son cœur s’emballait, elle devait gérer la situation. La respiration se rapprocha, elle ferma les yeux, une main caressa son visage. La personne posa ses lèvres sur les siennes. Elle donna un coup de poing dans le nez de cet homme. Elle sentit un liquide chaud lui tomber dessus. L’inconnu se recula.

-La garce, putain, elle m’a pété l’nez !

La lumière de la lune éclairait parfaitement la pièce, elle sortit de lit et s’essuya le visage dans les draps. Si jamais il lui arrivait quelque chose, ils auraient l’ADN de son kidnappeur. Elle chercha son arme mais l’intrus fut plus rapide qu’elle. Il lui asséna un violent coup de poing dans l’estomac, puis un deuxième et ce fut le noir.

« Maman, Non ! »

Alex se réveilla en sursaut, elle était attachée, complètement nue. Elle avait froid et soif, elle ne savait même pas pourquoi elle était là. Elle tenta de tirer sur ses liens, elle n’arriverait pas à se détacher. Elle commença à paniquer, elle allait mourir ici ? Dans la chambre d’un inconnu ? C’était ça sa punition ? Non, elle n’avait pas mérité ça, elle ne voulait pas mourir, pas maintenant ! Un homme entra dans la pièce, c’était celui qu’elle avait frappé dans son appartement. Il attrapa un foulard et la força à ouvrir la bouche, il la bâillonna et lui donna une violente gifle.

-On fait moins la maligne, hein ? Je reviens m’occuper de toi plus tard, chérie !

Il ne prit même pas la peine de verrouiller la porte. Alex ferma les yeux, elle entendit des voix provenant de l’étage inférieur, elle se débattit de toutes ses forces et tenta de crier, des larmes coulèrent sur ses joues. Elle voulait que ces personnes viennent, il aurait suffi qu’ils montent à l’étage. Ils ne le firent pas. Le temps passa horriblement lentement, finalement elle entendit la porte d’entrée claquer. Quelqu’un monta les escaliers, il entra dans la chambre et s’assit à ses côtés. Il avait quelque chose dans les mains, c’était un scalpel. Il enleva le bâillon et enfonça sa lame dans le ventre d’Alex, il lui fit une entaille pas trop profonde pour ne pas la tuer mais assez pour lui arracher un cri de douleur. Elle sentit son sang couler sur ses hanches, il recommença une deuxième fois puis une troisième jusqu’à ce que la douleur, trop insupportable, lui fasse perdre connaissance.

« Elle a 8 ans, elle joue avec sa poupée préférée. Sa mère vient de partir travailler. Elle a laissé Alex chez sa nounou, la voisine. Alex aime bien la voisine parce qu’elle lui laisse manger des bonbons avant les repas. Elle regarde la télé mais sa nounou n’est plus là. Elle a dû sortir pour discuter avec la dame d’en face. Alex entend de drôle de bruit dehors. Elle sort par la fenêtre, il fait déjà nuit et sa maman n’est pas venue la chercher. Des hommes en uniformes attendent devant sa maison, il y a des sirènes et des lumières bleus. Alex est assez petite pour se faufiler dans la foule. Elle attend qu’un homme en bleu s’éloigne, elle passe sous la bande jaune, elle entre par la porte. Maman est pleine de sang, elle ne bouge plus. Alex crie, les policiers viennent la chercher et la ramène chez la voisine. »

« Maman ! Non ! »

-Ta maman ne viendra pas.

Elle ouvrit les yeux, l’homme lui donna une gifle et sortit de la pièce. Alex ne sentait plus son corps, elle avait mal partout. Elle tira encore sur ses liens, pourquoi était-elle là ? Et pourquoi elle ? Elle n’avait même pas la force de crier. Elle ferma les yeux, elle n’avait rien d’autre à faire à part, se souvenir. Il fallait qu’elle se souvienne, son rêve s’arrêtait toujours à cet endroit mais elle était certaine qu’il se passait quelque chose après. Elle oublia toutes ses blessures,

« Sa maman vient de mourir, la voisine est gentille avec elle mais elle s’en fiche. Sa maman l’avait toujours prévenu qu’un méchant les poursuivait. Alex a peur, elle ne veut pas finir comme elle, elle ne veut pas que des hommes en blanc la mette dans un sac. Elle boit son jus de pomme, la voisine sort les poubelles. Alex s’endort sur le canapé, lorsqu’elle se réveille, un homme se tient devant elle. »

-Tu sais qu’à cause de ta salope de mère, j’ai failli ne pas pouvoir régler mon erreur.

« Il la prend dans ses bras et descend à la cave ? Alex sait qu’il veut la tuer. Elle ne pleure pas, elle est forte. Il sort un couteau plein de sang, elle recule contre un mur. Elle tombe, elle en profite pour ramasser un tournevis par terre. L’homme se rapproche d’elle, elle court vers lui et plante son arme dans le torse du tueur. Il la regarde, ses yeux sont emplis d’admiration et d’amour. Il la prend dans ses bras. »

-Bravo… je… je suis… si fier de toi… ma fille.

« Elle se débat, elle ne veut pas rester dans ses bras. Elle sort en courant de la cave. Elle est pleine de sang. Elle ouvre la porte d’entrée et se met à hurler. La voisine se précipite vers elle, la police descend dans la cave, l’homme a disparu. »

-C’est mon père. Elle ouvrit les yeux. Putain, c’est mon enfoiré de père !

-De quoi tu parles ? Il n’y a que toi et moi ici.

Merde, elle l’avait oublié celui là, elle venait de découvrir l’identité du tueur de sa mère et elle allait mourir, quelle merde, Putain !

-Pourquoi je suis là ?
-Parce que tu es jolie et que tu te mêles de ce qui ne te regarde pas.
-Les flics vont rappliquer d’un moment à l’autre.
-Alors on…

Elle entendit quelqu’un fracasser la porte en bas en criant « FBI ». Le kidnappeur monta sur le lit et se positionna sur elle. Il posa son scalpel sur la gorge d’Alex. Ed’ entra dans la pièce et pointa son arme sur lui. Il sembla heureux de la retrouver en vie.

-Pas un geste.

L’homme ne bougea pas d’un pouce, il commença même à forcer sur la lame. Ed’ tira, entre les deux yeux lorsque le tueur tourna la tête. Il avait eu peur pour elle apparemment. Il fit basculer le corps de l’homme et la détacha. Il posa une couverture sur ses épaules, il lui donna un verre d’eau. Elle devait être là depuis un peu plus de 24heures, elle ne s’en rendait pas bien compte. C’était seulement sa faim et sa soif qui la tenaillaient. Un médecin vint s’occuper de ses blessures sur le ventre, il voulait qu’elle aille à l’hôpital. Alex refusa, elle dit au docteur qu’elle se sentait bien. Ed tenait à la raccompagner, elle accepta poliment, de toute façon, il ne la laisserait pas partir sans lui. Elle retourna à son appartement. Elle arracha toutes les photos de sa chambre, se coucha sur son lit et ferma les yeux. Ed’ se coucha auprès d’elle et lui caressa les cheveux. Elle savait qu’il l’aimait encore, ils n’étaient pas faits l’un pour l’autre…

Si vous cherchez bien, j’ai la désagréable impression que vous constaterez qu’en définitive, nous sommes cernés par l’amour. Love Actually.

Inspirée du personnage Eva Svärta, De fièvre et de Sang, de Sire Cédric.